Mardi 29/01/2013
Viole d'amour, Violon
Piano
Contrebasse
Batterie
Percussions
Jasser Haj Youssef
A la croisée des chemins entre musique classique, jazz et musiques du monde, le jeune violoniste et compositeur tunisien Jasser Haj Youssef fait figure d'une étoile montante : une musicalité rare, une profonde culture musicale, une technique impressionnante mais toujours au service de l'essentiel : la mélodie, le rythme, l'émotion. Ses qualités artistiques lui ont permis de jouer avec les plus grandes figures internationales : Barbara Hendricks, Didier Lockwood, Youssou N'Dour, Sœur Marie Keyrouz... Il fait aussi preuve d'une belle originalité : il est le premier à avoir redécouvert la viole d'amour baroque. Jasser maîtrise à merveille cet instrument hors du commun et il a su le mettre au service d'une superbe musique aux multiples facettes : classique, orientale, jazzy, indienne... d'une surprenante modernité. Dans son premier album, « Sira », Jasser Haj Youssef exprime la diversité de son univers musical et fait résonner ses cordes et son âme.
Violoniste et compositeur, Jasser Haj Youssef est l'un des musiciens les plus charismatiques de sa génération. La sensualité de ses mélodies et son sens du groove lui ont permis de jouer avec les plus grandes figures internationales : Barbara Hendricks, Didier Lockwood, Youssou N'Dour, Sœur Marie Keyrouz...
Né en 1980 en Tunisie, Jasser baigne dès son enfance dans le milieu artistique avec un père ethnomusicologue et une mère styliste modéliste. Initié à l'improvisation au violon par son père Hacine Haj Youssef (ancien élève de Salah El Mahdi), il poursuit parallèlement une formation académique aux Conservatoires de Monastir et de Tunis. Plus tard, l'artiste étudie le violon classique et la musique de chambre avec Elena Pirvu (Roumanie) à l'Institut supérieur de Musique de Sousse et participe à des masters class avec des musiciens de renom comme Billy Hart (U.S.A.), L. Subramaniam (Inde), Michel Portal (France), Kudsi Erguner (Turquie), Ivo Papazov (Bulgarie) et Steve Coleman (U.S.A.).
Dès l'âge de 14 ans, Jasser est soliste au sein d'ensembles tunisiens prestigieux, et notamment auprès de Choubeila Rached (1933-2008), Safia Chamia (1932-2004) et Salah El-Mahdi (né en 1925)... A 16 à 18 ans, il anime une émission à Radio Monastir sur les musiques arabes.
A 19 ans, au festival de jazz de Tabarka, le guitariste Fawzi Chekili le repère et l'invite à rejoindre son groupe. Il intègre également « la Cameratta de Sousse » (musique de chambre) et l'Orchestre symphonique de Tunis. Le violoniste compose pour le Festival International du Film d'Amour de Mons (Belgique), en collaboration avec Christian Leroy.
En 2001, il est lauréat du concours des Instituts supérieurs de musique de Tunisie, catégorie « Meilleure interprétation musicale arabe ». En 2003, il obtient son diplôme de violon classique et une maîtrise en musique et musicologie à l'Institut supérieur de musique de Sousse.
Arrivé en France en 2003 pour y poursuivre des études en musicologie, le prodige joue rapidement comme soliste auprès de musiciens arabes de renommée internationale tels que Sœur Marie Keyrouz, l'Algérienne Cheikha Rimitti (1923-2006) et le Libanais Elie Achkar.
S'il est attiré par le jazz depuis son plus jeune âge, c'est à Paris qu'il se lance véritablement dans l'expression de cette musique, tout en y intégrant les éléments orientaux issus de sa propre culture musicale. L'occasion lui est donnée de jouer ou d'enregistrer aux côtés de Didier Lockwood, Mario Canonge, Khalil Chahine, Toufic Farroukh, Michel Alibo et Mokhtar Samba...
En 2005, Jasser Haj Youssef crée le projet « Last Night In Tunisia » en collaboration avec le tromboniste français Geoffroy De Masure. Plusieurs musiciens participent au projet comme Karim Ziad, Linley Marthe et Dorsaf Hamdani.
Haj Youssef participe également à diverses expériences d'échanges musicaux avec des musiciens classiques et baroques au sein de l'Orchestre pour la Paix (fondé par Miguel Angel Estrella), notamment lors du concert de Barbara Hendricks en Jordanie (2005) en présence du Dalaï Lama et de 42 lauréats du Prix Nobel de la Paix. Il joue avec l'Ensemble Aramea (musique baroque et ottomane), Diabolus In Musica (musique médiévale), Béatus (album L'Orient des Troubadours)...
Il accompagne également Youssou N'Dour (B.O. Kirikou 2 et 3), Dhafer Youssef, Simone Kermes, Dorsaf Hamdani (hommages à Oum Kalthoum et Asmahan), Ousmane Danedjo, Rachid Ben Abdeslam, Najma (musiques du Pakistan), Carlo Rizzo, Keyko Nimsay.
Jasser Haj Youssef est le premier musicien à jouer de la musique arabe avec une viole d'amour (instrument européen de l'époque baroque). Il se produit en solo en 2008 au siège de l'Unesco et dans plusieurs festivals en Europe et dans le monde arabe comme à Doha (Qatar) en présence de l'Aga Khan.
Pédagogue (titulaire du Certificat d'Aptitude aux fonctions de professeur de musique, Ministère de la Culture, France), chercheur (doctorant à l'Université de Paris 8) et membre du jury au Centre National de la Fonction Publique Territoriale (France), Jasser Haj Youssef donne régulièrement des masters class et des conférences dans de nombreux pays.
En 2012, avec son album « Sira », édité par Radio France Internationale, qui signifie parcours ou chemin (en arabe), Jasser Haj Youssef entre désormais par la grande porte du jazz oriental...
A la croisée des chemins entre musique classique, jazz et musiques du monde, le jeune violoniste et compositeur tunisien Jasser Haj Youssef fait figure d'une étoile montante : une musicalité rare, une profonde culture musicale, une technique impressionnante mais toujours au service de l'essentiel : la mélodie, le rythme, l'émotion. Ses qualités artistiques lui ont permis de jouer avec les plus grandes figures internationales : Barbara Hendricks, Didier Lockwood, Youssou N'Dour, Sœur Marie Keyrouz... Il fait aussi preuve d'une belle originalité : il est le premier à avoir redécouvert la viole d'amour baroque. Jasser maîtrise à merveille cet instrument hors du commun et il a su le mettre au service d'une superbe musique aux multiples facettes : classique, orientale, jazzy, indienne... d'une surprenante modernité. Dans son premier album, « Sira », Jasser Haj Youssef exprime la diversité de son univers musical et fait résonner ses cordes et son âme.
Violoniste et compositeur, Jasser Haj Youssef est l'un des musiciens les plus charismatiques de sa génération. La sensualité de ses mélodies et son sens du groove lui ont permis de jouer avec les plus grandes figures internationales : Barbara Hendricks, Didier Lockwood, Youssou N'Dour, Sœur Marie Keyrouz...
Né en 1980 en Tunisie, Jasser baigne dès son enfance dans le milieu artistique avec un père ethnomusicologue et une mère styliste modéliste. Initié à l'improvisation au violon par son père Hacine Haj Youssef (ancien élève de Salah El Mahdi), il poursuit parallèlement une formation académique aux Conservatoires de Monastir et de Tunis. Plus tard, l'artiste étudie le violon classique et la musique de chambre avec Elena Pirvu (Roumanie) à l'Institut supérieur de Musique de Sousse et participe à des masters class avec des musiciens de renom comme Billy Hart (U.S.A.), L. Subramaniam (Inde), Michel Portal (France), Kudsi Erguner (Turquie), Ivo Papazov (Bulgarie) et Steve Coleman (U.S.A.).
Dès l'âge de 14 ans, Jasser est soliste au sein d'ensembles tunisiens prestigieux, et notamment auprès de Choubeila Rached (1933-2008), Safia Chamia (1932-2004) et Salah El-Mahdi (né en 1925)... A 16 à 18 ans, il anime une émission à Radio Monastir sur les musiques arabes.
A 19 ans, au festival de jazz de Tabarka, le guitariste Fawzi Chekili le repère et l'invite à rejoindre son groupe. Il intègre également « la Cameratta de Sousse » (musique de chambre) et l'Orchestre symphonique de Tunis. Le violoniste compose pour le Festival International du Film d'Amour de Mons (Belgique), en collaboration avec Christian Leroy.
En 2001, il est lauréat du concours des Instituts supérieurs de musique de Tunisie, catégorie « Meilleure interprétation musicale arabe ». En 2003, il obtient son diplôme de violon classique et une maîtrise en musique et musicologie à l'Institut supérieur de musique de Sousse.
Arrivé en France en 2003 pour y poursuivre des études en musicologie, le prodige joue rapidement comme soliste auprès de musiciens arabes de renommée internationale tels que Sœur Marie Keyrouz, l'Algérienne Cheikha Rimitti (1923-2006) et le Libanais Elie Achkar.
S'il est attiré par le jazz depuis son plus jeune âge, c'est à Paris qu'il se lance véritablement dans l'expression de cette musique, tout en y intégrant les éléments orientaux issus de sa propre culture musicale. L'occasion lui est donnée de jouer ou d'enregistrer aux côtés de Didier Lockwood, Mario Canonge, Khalil Chahine, Toufic Farroukh, Michel Alibo et Mokhtar Samba...
En 2005, Jasser Haj Youssef crée le projet « Last Night In Tunisia » en collaboration avec le tromboniste français Geoffroy De Masure. Plusieurs musiciens participent au projet comme Karim Ziad, Linley Marthe et Dorsaf Hamdani.
Haj Youssef participe également à diverses expériences d'échanges musicaux avec des musiciens classiques et baroques au sein de l'Orchestre pour la Paix (fondé par Miguel Angel Estrella), notamment lors du concert de Barbara Hendricks en Jordanie (2005) en présence du Dalaï Lama et de 42 lauréats du Prix Nobel de la Paix. Il joue avec l'Ensemble Aramea (musique baroque et ottomane), Diabolus In Musica (musique médiévale), Béatus (album L'Orient des Troubadours)...
Il accompagne également Youssou N'Dour (B.O. Kirikou 2 et 3), Dhafer Youssef, Simone Kermes, Dorsaf Hamdani (hommages à Oum Kalthoum et Asmahan), Ousmane Danedjo, Rachid Ben Abdeslam, Najma (musiques du Pakistan), Carlo Rizzo, Keyko Nimsay.
Jasser Haj Youssef est le premier musicien à jouer de la musique arabe avec une viole d'amour (instrument européen de l'époque baroque). Il se produit en solo en 2008 au siège de l'Unesco et dans plusieurs festivals en Europe et dans le monde arabe comme à Doha (Qatar) en présence de l'Aga Khan.
Pédagogue (titulaire du Certificat d'Aptitude aux fonctions de professeur de musique, Ministère de la Culture, France), chercheur (doctorant à l'Université de Paris 8) et membre du jury au Centre National de la Fonction Publique Territoriale (France), Jasser Haj Youssef donne régulièrement des masters class et des conférences dans de nombreux pays.
En 2012, avec son album « Sira », édité par Radio France Internationale, qui signifie parcours ou chemin (en arabe), Jasser Haj Youssef entre désormais par la grande porte du jazz oriental...
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