Mardi 26/02/2013
Guitare
Guitare
Guitare
Contrebasse
Accordéon
Les Doigts De L'homme
Avec « Mumbo Jumbo », Les Doigts de l'Homme confirment cette singularité attachante qui leur a gagné une place bien particulière dans la riche galaxie du jazz manouche. Mieux encore, ils forment un vrai groupe, homogène, qui s'impose comme une voix marquante et séduisante de la musique du monde.
Avec « Mumbo Jumbo », Les Doigts de l'Homme confirment cette singularité attachante qui leur a gagné une place bien particulière dans la riche galaxie du jazz manouche. Mieux encore, ils forment un vrai groupe, homogène, qui s'impose comme une voix marquante et séduisante de la musique du monde.
Guitare
Guitare
Guitare
Contrebasse
Accordéon
Première partie
Voix
Guitare, Violon
Norig
Étonnant destin que celui de Norig, qui, suite à une véritable révélation (« Le temps des Gitans » d'Emir Kusturica), se jette à corps perdu dans la culture tzigane et s'en approprie le chant.
Norig fait ses premières armes au sein de l'école « Les Glotte-Trotters », où elle apprend et chante dans des groupes polyphoniques des chants du monde de tout horizon, elle enchaîne ensuite les rencontres avec les musiciens roms qui l'adoptent et mûrit en parallèle son projet musical avec la complicité de Sébastien Giniaux et la contribution précieuse de l'accordéoniste moldave Victor Coman, musiciens et arrangeurs.
Elle livre un premier album « Gadji », fruit de cette collaboration dont la musique puise dans le répertoire traditionnel et amène également des compositions originales sur des poèmes tziganes, des textes en français avec la participation de babx, un chant en duo avec Teofilo Chantre (compositeur de Césaria Evora) et même une reprise des « P'tits Papiers » de Gainsbourg.
C'est sur scène, terrain d'expression favori de cette musique, que Norig, avec cette voix étonnante, donne toute la mesure de son talent.
« Port altier et voix qui vous dresse le système pileux, dans les ballades à l'odeur de drame comme dans les chansons à ripaille, Norig, adoptée par les tziganes à la peau tannée qu'elle fait fondre comme des gosses, est déjà une grande ». (Rémy Kolpa Kopoul)
Étonnant destin que celui de Norig, qui, suite à une véritable révélation (« Le temps des Gitans » d'Emir Kusturica), se jette à corps perdu dans la culture tzigane et s'en approprie le chant.
Norig fait ses premières armes au sein de l'école « Les Glotte-Trotters », où elle apprend et chante dans des groupes polyphoniques des chants du monde de tout horizon, elle enchaîne ensuite les rencontres avec les musiciens roms qui l'adoptent et mûrit en parallèle son projet musical avec la complicité de Sébastien Giniaux et la contribution précieuse de l'accordéoniste moldave Victor Coman, musiciens et arrangeurs.
Elle livre un premier album « Gadji », fruit de cette collaboration dont la musique puise dans le répertoire traditionnel et amène également des compositions originales sur des poèmes tziganes, des textes en français avec la participation de babx, un chant en duo avec Teofilo Chantre (compositeur de Césaria Evora) et même une reprise des « P'tits Papiers » de Gainsbourg.
C'est sur scène, terrain d'expression favori de cette musique, que Norig, avec cette voix étonnante, donne toute la mesure de son talent.
« Port altier et voix qui vous dresse le système pileux, dans les ballades à l'odeur de drame comme dans les chansons à ripaille, Norig, adoptée par les tziganes à la peau tannée qu'elle fait fondre comme des gosses, est déjà une grande ». (Rémy Kolpa Kopoul)
Voix
Guitare, Violon