Jeudi 27/06/2013
Guitare, Guitare, Harmonica, Harmonica, Voix, Voix, Wurlitzer
Guitare, Voix
Batterie, Percussions
Monkeyjunk
MonkeyJunk est un jeune groupe d'Ottawa qui est en train d'exploser au Canada et de percer sérieusement aux USA.
Créé en 2008, le groupe était déjà nominé aux Maple Blues Awards dans la catégorie « Best New Artist » six mois plus tard, et avant d'avoir enregistré son premier album. L'année suivante (en 2009) ils raflaient 5 awards sur 6 aux mêmes Maple Blues Awards (Grammy canadiens) en tant que « Electric Act of the Year », « Guitar Player of the Year », « Vocalist of the Year », « Harmonica Player of the Year » et « Entertainer of the Year ». Enfin en 2010 ils décrochaient l'Award de « Best New Artist Debut » en Amérique aux Memphis Blues Music Awards suivi de peu en 2011 par 3 nouvelles récompenses aux Maple Blues Awards...!
De quoi ressembler à un sapin de Noël ou à un général en fin de carrière, question décorations...!
Les MonkeyJunk cuisinent Blues, Boogie, Soul et Swamp music à leur propre sauce dans le but de faire danser leurs auditeurs et réussissent tout ce qu'ils font avec un bonheur rare, presque avec grâce. Le groupe est légèrement atypique : il n'a pas de bassiste (Hound Dog Taylor n'avait pas de bassiste et Little Walter s'en passait aussi souvent... disent-ils) et se compose de Steve Marriner, chanteur-harmoniciste (et quel chanteur !), d'un guitariste incroyable (Tony D) et d'un batteur de premier plan (Matt Sobb). Leur nom vient d'une « private joke » inspirée d'une phrase d'une de leurs idoles (Son House) : « I'm talkin' ‘bout the blues. I ain't talkin' about monkey junk » (je parle du blues et pas de musique de...).
To Behold est le second album de MonkeyJunk, il est produit par Ken Friesen (Tragically Hip, Blue Rodeo) et Steve Marriner et son écoute laisse à penser que le groupe est promis à un avenir radieux au pays des musiques bleues qui groovent...!
MonkeyJunk est un jeune groupe d'Ottawa qui est en train d'exploser au Canada et de percer sérieusement aux USA.
Créé en 2008, le groupe était déjà nominé aux Maple Blues Awards dans la catégorie « Best New Artist » six mois plus tard, et avant d'avoir enregistré son premier album. L'année suivante (en 2009) ils raflaient 5 awards sur 6 aux mêmes Maple Blues Awards (Grammy canadiens) en tant que « Electric Act of the Year », « Guitar Player of the Year », « Vocalist of the Year », « Harmonica Player of the Year » et « Entertainer of the Year ». Enfin en 2010 ils décrochaient l'Award de « Best New Artist Debut » en Amérique aux Memphis Blues Music Awards suivi de peu en 2011 par 3 nouvelles récompenses aux Maple Blues Awards...!
De quoi ressembler à un sapin de Noël ou à un général en fin de carrière, question décorations...!
Les MonkeyJunk cuisinent Blues, Boogie, Soul et Swamp music à leur propre sauce dans le but de faire danser leurs auditeurs et réussissent tout ce qu'ils font avec un bonheur rare, presque avec grâce. Le groupe est légèrement atypique : il n'a pas de bassiste (Hound Dog Taylor n'avait pas de bassiste et Little Walter s'en passait aussi souvent... disent-ils) et se compose de Steve Marriner, chanteur-harmoniciste (et quel chanteur !), d'un guitariste incroyable (Tony D) et d'un batteur de premier plan (Matt Sobb). Leur nom vient d'une « private joke » inspirée d'une phrase d'une de leurs idoles (Son House) : « I'm talkin' ‘bout the blues. I ain't talkin' about monkey junk » (je parle du blues et pas de musique de...).
To Behold est le second album de MonkeyJunk, il est produit par Ken Friesen (Tragically Hip, Blue Rodeo) et Steve Marriner et son écoute laisse à penser que le groupe est promis à un avenir radieux au pays des musiques bleues qui groovent...!
Guitare, Guitare, Harmonica, Harmonica, Voix, Voix, Wurlitzer
Guitare, Voix
Batterie, Percussions
Harmonica, Voix
Nico Wayne Toussaint
Nico Wayne Toussaint vient d'enregistrer ce nouvel album au Canada. En plus de son groupe local, Il a fait appel à des artistes et musiciens confirmés qui apportent leur touche personnelle à l'édifice : Guy Davis, Rod Piazza, Monster Mike Welch, David Maxwell... Le résultat est un blues dynamique et groovy, parfois poisseux, proche du Chicago, avec des pointes de Rock et de musique Louisianaise. Une vraie réussite... !
Nico Wayne Toussaint est un artiste totalement atypique. Il est né en 1973 à Toulon mais a séjourné longtemps à Minneapolis et à Chicago et il partage son temps désormais entre la France et la Floride où il vit la moitié de l'année. Son second prénom «Wayne» lui vient de son parrain américain. Son père passionné de musique Louisianaise se produisait dans les cabarets de Montmartre au début des années cinquante et Nico sera toujours tiraillé entre les deux cultures; c'est un peu l'histoire du «Jazz et la Java» de Nougaro.
A l'âge de 18 ans il se passionne pour le blues et l'harmonica après avoir découvert James Cotton dans l'album «Hard Again» de Muddy Waters. Depuis ce jour, la rage de jouer et l'énergie débordante qui émane de Cotton sont les piliers de sa démarche musicale, et le blues, un souffle de vie qu'il respire au quotidien. Ces fréquents séjours outre-Atlantique lui permettront également de croiser la route de musiciens légendaires tels que Luther Allison, Eddy C. Campbell, Cash Mc Call, Willy Kent, Jimmy Johnson... et d'être invité à partager la scène avec eux.
A ce jour, il reste l'un des très rares européens à avoir créé, à partir du Chicago blues, un style vocal et scénique totalement personnel. Ses concerts sont explosifs et, à force de talent et d'énergie, il est devenu en dix ans une référence dans le monde du blues et de l´harmonica. Son charisme en scène est exceptionnel.
Nico Wayne Toussaint vient d'enregistrer ce nouvel album au Canada. En plus de son groupe local, Il a fait appel à des artistes et musiciens confirmés qui apportent leur touche personnelle à l'édifice : Guy Davis, Rod Piazza, Monster Mike Welch, David Maxwell... Le résultat est un blues dynamique et groovy, parfois poisseux, proche du Chicago, avec des pointes de Rock et de musique Louisianaise. Une vraie réussite... !
Nico Wayne Toussaint est un artiste totalement atypique. Il est né en 1973 à Toulon mais a séjourné longtemps à Minneapolis et à Chicago et il partage son temps désormais entre la France et la Floride où il vit la moitié de l'année. Son second prénom «Wayne» lui vient de son parrain américain. Son père passionné de musique Louisianaise se produisait dans les cabarets de Montmartre au début des années cinquante et Nico sera toujours tiraillé entre les deux cultures; c'est un peu l'histoire du «Jazz et la Java» de Nougaro.
A l'âge de 18 ans il se passionne pour le blues et l'harmonica après avoir découvert James Cotton dans l'album «Hard Again» de Muddy Waters. Depuis ce jour, la rage de jouer et l'énergie débordante qui émane de Cotton sont les piliers de sa démarche musicale, et le blues, un souffle de vie qu'il respire au quotidien. Ces fréquents séjours outre-Atlantique lui permettront également de croiser la route de musiciens légendaires tels que Luther Allison, Eddy C. Campbell, Cash Mc Call, Willy Kent, Jimmy Johnson... et d'être invité à partager la scène avec eux.
A ce jour, il reste l'un des très rares européens à avoir créé, à partir du Chicago blues, un style vocal et scénique totalement personnel. Ses concerts sont explosifs et, à force de talent et d'énergie, il est devenu en dix ans une référence dans le monde du blues et de l´harmonica. Son charisme en scène est exceptionnel.
Harmonica, Voix