Jeudi 07/11/2013
Trompette, Voix
Saxophone, Voix
Trombone, Voix
Guitare
Batterie
Basse
Claviers, Voix
Guitare
Voix
Boney Field & The Bone's Project
Partout où ils passent, Boney Fields & The Bone's Project laissent derrière eux une sacrée impression. Comme une traînée de poudre hautement énergétique, à force de dispenser généreusement ce blues mâtiné de funk et gorgé de soul qui rassemble et rallie les foules dans une belle communion. Dynamisé par son leader, le trompettiste-chanteur-auteur-compositeur Boney Fields, ce combo gagne de plus en plus d'adeptes.
« Changing for the future ». Le slogan n’est certes pas nouveau, il n’en est pas moins d’actualité. C’est ce que vient nous rappeler avec acuité Boney Fields, musicien qui n’a jamais choisi de faire du surplace, de demeurer scotché aux clichés qui collent à la peau des bluesmen américains. On retrouve ici Boney Fields fidèle à lui-même sur ce 5ème album : hors des sentiers battus, loin des catégories prédéfinies, plus près de la musique. Des années qu’il joue à saute-moutons avec les styles : sans œillères ni barrières, les histoires de barrières, ce n'est pas son genre.
Elevé aux prêches du gospel dominical, grandi dans le blues électrique, ce trompettiste et chanteur est l’héritier d’une longue tradition, qui n’a cessé de se rénover, de s’ouvrir aux influences sans pour autant oublier ses fondamentaux. C’est cela que porte en 2013 Boney Fields, le son de Chicago, la cité des vents qui fut le laboratoire de la musique noire-américaine. À l’instar de ses illustres pères fondateurs, Boney Fields a tout autant été biberonné par le son des sixties, la soul et le rhythm’n’blues, mais aussi le funk, le jazz et le rock. De toutes ses matrices, il a fait son petit lait, histoire de composer sa propre mixture, un original mix rétro-futuriste qui sonne comme un seul homme : lui. « Mon ambition est de bâtir un son avec de réelles fondations mais avec un esprit connecté à notre réalité. » Voilà pourquoi on ne sera guère surpris de retrouver à ses côtés le rappeur Lord Reign, son cousin ! Le temps de deux morceaux choisis parmi la douzaine de titres qui composent ce nouvel album, un festin où sont aussi conviés l’ami Lucky Peterson, fine gâchette du blues funky, et la chanteuse Joëlle Kounde. Au menu : du old school groove, pour paraphraser un des titres co-écrits avec le guitariste sénégalais Hervé Samb, un des piliers du Bone’s Project, mais aussi quelques effets électroniques. Peu importe la matière, Boney Fields ne jure que par le groove, le plaisir de faire bouger les corps et le désir de faire chavirer les âmes. À l'écouter on est tout ouïe.
Voilà pourquoi on ne s’étonnera pas plus de l’entendre reprendre les voies tracées par BB King et Luther Allison, deux artistes tutélaires dans sa galaxie. Du premier, il emprunte un thème peu parcouru, qu’il reconfigure totalement. Du second avec lequel il a beaucoup œuvré, il salue l’esprit de liberté, au travers de « Freedom », un titre où Luther Allison évoquait le droit à la différence, de droit des communautés à cohabiter, la justice pour tous, sans distinction. La chanson est emblématique de la thématique développée : espoir et mémoire. Pas besoin d’oublier, mais pas question de vivre dans le passé, juste l’envie d’un monde meilleur. Et pour y parvenir, le message passe mieux avec de bonnes vibrations.
Yes, he can ! Avec Boney Fields, le changement, c’est maintenant. Comme toujours.
Partout où ils passent, Boney Fields & The Bone's Project laissent derrière eux une sacrée impression. Comme une traînée de poudre hautement énergétique, à force de dispenser généreusement ce blues mâtiné de funk et gorgé de soul qui rassemble et rallie les foules dans une belle communion. Dynamisé par son leader, le trompettiste-chanteur-auteur-compositeur Boney Fields, ce combo gagne de plus en plus d'adeptes.
« Changing for the future ». Le slogan n’est certes pas nouveau, il n’en est pas moins d’actualité. C’est ce que vient nous rappeler avec acuité Boney Fields, musicien qui n’a jamais choisi de faire du surplace, de demeurer scotché aux clichés qui collent à la peau des bluesmen américains. On retrouve ici Boney Fields fidèle à lui-même sur ce 5ème album : hors des sentiers battus, loin des catégories prédéfinies, plus près de la musique. Des années qu’il joue à saute-moutons avec les styles : sans œillères ni barrières, les histoires de barrières, ce n'est pas son genre.
Elevé aux prêches du gospel dominical, grandi dans le blues électrique, ce trompettiste et chanteur est l’héritier d’une longue tradition, qui n’a cessé de se rénover, de s’ouvrir aux influences sans pour autant oublier ses fondamentaux. C’est cela que porte en 2013 Boney Fields, le son de Chicago, la cité des vents qui fut le laboratoire de la musique noire-américaine. À l’instar de ses illustres pères fondateurs, Boney Fields a tout autant été biberonné par le son des sixties, la soul et le rhythm’n’blues, mais aussi le funk, le jazz et le rock. De toutes ses matrices, il a fait son petit lait, histoire de composer sa propre mixture, un original mix rétro-futuriste qui sonne comme un seul homme : lui. « Mon ambition est de bâtir un son avec de réelles fondations mais avec un esprit connecté à notre réalité. » Voilà pourquoi on ne sera guère surpris de retrouver à ses côtés le rappeur Lord Reign, son cousin ! Le temps de deux morceaux choisis parmi la douzaine de titres qui composent ce nouvel album, un festin où sont aussi conviés l’ami Lucky Peterson, fine gâchette du blues funky, et la chanteuse Joëlle Kounde. Au menu : du old school groove, pour paraphraser un des titres co-écrits avec le guitariste sénégalais Hervé Samb, un des piliers du Bone’s Project, mais aussi quelques effets électroniques. Peu importe la matière, Boney Fields ne jure que par le groove, le plaisir de faire bouger les corps et le désir de faire chavirer les âmes. À l'écouter on est tout ouïe.
Voilà pourquoi on ne s’étonnera pas plus de l’entendre reprendre les voies tracées par BB King et Luther Allison, deux artistes tutélaires dans sa galaxie. Du premier, il emprunte un thème peu parcouru, qu’il reconfigure totalement. Du second avec lequel il a beaucoup œuvré, il salue l’esprit de liberté, au travers de « Freedom », un titre où Luther Allison évoquait le droit à la différence, de droit des communautés à cohabiter, la justice pour tous, sans distinction. La chanson est emblématique de la thématique développée : espoir et mémoire. Pas besoin d’oublier, mais pas question de vivre dans le passé, juste l’envie d’un monde meilleur. Et pour y parvenir, le message passe mieux avec de bonnes vibrations.
Yes, he can ! Avec Boney Fields, le changement, c’est maintenant. Comme toujours.
Trompette, Voix
Saxophone, Voix
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