Lundi 06/06/2016
Guitare, Voix
Tommy Castro & The Painkillers
Le blues est entre de bonnes mains. Tommy possède la voix, le son et les intentions justes pour toucher le coeur de n'importe qui... (Carlos Santana)
Né en 1955 à San José, ce californien s'est fait remarquer d'abord par de grosses prestations scéniques avant de former le Tommy Castro Band en 1991. Son mélange de blues, de rock et de soul est très efficace. Débutant très tôt la guitare et influencé par Bloomfield, Clapton et Albert King mais aussi par les voix de la soul comme Wilson Pickett et Otis Redding, il suit le parcours classique des bluesmen longtemps sur la route avant d'enregistrer leur premier album (son premier album date de 1993) Depuis son audience ne cesse d'augmenter, renforcée par des prestations comme groupe de support d'une émission de télévision.
Du jour où Tommy Castro et son groupe ont commencé à jouer leur mélange si particulier de blues, de soul et de rock en 1991 dans la région de la baie de San Francisco, les fans ainsi que les critiques ont toujours été autant séduits par son formidable talent de compositeur que par ses prestations scéniques explosives.
Blues Revue, l'une des principales publications de blues Américaines a écrit : « l'énergie et le charisme de Castro vous sautent littéralement à la figure ! ». Pour sa part, Musician Magazine disait à propos de ce natif de San Jose en Californie : « Castro devrait devenir une star », tandis que Playboy s'épanchait dans les termes suivants : « admiré pour sa virtuosité à la guitare, Castro balance un peu plus de rock et deux pincées de soul dans son mix de blues ! Il possède la voix, le groupe et le jeu de guitare pour réussir son coup ».
Reconnu comme l'une des attractions scéniques les plus convaincantes du moment (il est devenu aux États-Unis une composante indispensable du circuit des clubs et de celui des festivals, tournant avec des artistes comme B.B. King, Robert Cray, Jonny Lang et le regretté John Lee Hooker), le Tommy Castro Band a également démontré ses capacités en studio à travers quelques albums hautement considérés et d'incessantes programmations sur les ondes de centaines de radios à travers les États-Unis et dans le reste du monde. En fait, aussi bien « Right As Rain » que « Live At The Fillmore » ont flirté plusieurs semaines avec les premières places du classement du prestigieux hit-parade blues du Billboard.
== Method To My Madness ==
Quinzième album, et le deuxième avec The Painkillers, en 40 ans de carrière pour Tommy Castro ! En soi, c'est un signe de dynamisme et de qualité. On a ici dix compositions originales et seulement deux covers dont l'excellent Bad Luck, un hommage à B.B.King, maître et inspirateur de Castro. L'objectif déclaré de Castro est de réaliser chaque fois un album différent du précédent, sans s'éloigner des ingrédients de base : le blues et la soul. On dirait bien que le pari est tenu une fois de plus, avec du blues, de la soul et aussi du R&B de bonne facture. Son chant est toujours aussi intense et percutant, son jeu de guitare est envoutant et dense (Shine A Light). Le soutien de ses accompagnateurs est bien sûr capital : Michael Emerson (keyboards), Randy McDonald (basse), Bowen Brown (drums), que ce soit dans Ride, un morceau autobiographique de Castro, ou dans le genre « rock épicé swamp pop » comme Got A Lot ou dans de superbes ballades soul comme Died And Gone To Heaven ou encore un I'm Qualified, emprunté à Clarence Carter. Outre Bad Luck, il y encore d'autres superbes blues comme Lose Lose et All About The Cash. Une réussite de plus dans la disographie de Tommy Castro. (Robert Sacré)
Production : New Morning
Le blues est entre de bonnes mains. Tommy possède la voix, le son et les intentions justes pour toucher le coeur de n'importe qui... (Carlos Santana)
Né en 1955 à San José, ce californien s'est fait remarquer d'abord par de grosses prestations scéniques avant de former le Tommy Castro Band en 1991. Son mélange de blues, de rock et de soul est très efficace. Débutant très tôt la guitare et influencé par Bloomfield, Clapton et Albert King mais aussi par les voix de la soul comme Wilson Pickett et Otis Redding, il suit le parcours classique des bluesmen longtemps sur la route avant d'enregistrer leur premier album (son premier album date de 1993) Depuis son audience ne cesse d'augmenter, renforcée par des prestations comme groupe de support d'une émission de télévision.
Du jour où Tommy Castro et son groupe ont commencé à jouer leur mélange si particulier de blues, de soul et de rock en 1991 dans la région de la baie de San Francisco, les fans ainsi que les critiques ont toujours été autant séduits par son formidable talent de compositeur que par ses prestations scéniques explosives.
Blues Revue, l'une des principales publications de blues Américaines a écrit : « l'énergie et le charisme de Castro vous sautent littéralement à la figure ! ». Pour sa part, Musician Magazine disait à propos de ce natif de San Jose en Californie : « Castro devrait devenir une star », tandis que Playboy s'épanchait dans les termes suivants : « admiré pour sa virtuosité à la guitare, Castro balance un peu plus de rock et deux pincées de soul dans son mix de blues ! Il possède la voix, le groupe et le jeu de guitare pour réussir son coup ».
Reconnu comme l'une des attractions scéniques les plus convaincantes du moment (il est devenu aux États-Unis une composante indispensable du circuit des clubs et de celui des festivals, tournant avec des artistes comme B.B. King, Robert Cray, Jonny Lang et le regretté John Lee Hooker), le Tommy Castro Band a également démontré ses capacités en studio à travers quelques albums hautement considérés et d'incessantes programmations sur les ondes de centaines de radios à travers les États-Unis et dans le reste du monde. En fait, aussi bien « Right As Rain » que « Live At The Fillmore » ont flirté plusieurs semaines avec les premières places du classement du prestigieux hit-parade blues du Billboard.
== Method To My Madness ==
Quinzième album, et le deuxième avec The Painkillers, en 40 ans de carrière pour Tommy Castro ! En soi, c'est un signe de dynamisme et de qualité. On a ici dix compositions originales et seulement deux covers dont l'excellent Bad Luck, un hommage à B.B.King, maître et inspirateur de Castro. L'objectif déclaré de Castro est de réaliser chaque fois un album différent du précédent, sans s'éloigner des ingrédients de base : le blues et la soul. On dirait bien que le pari est tenu une fois de plus, avec du blues, de la soul et aussi du R&B de bonne facture. Son chant est toujours aussi intense et percutant, son jeu de guitare est envoutant et dense (Shine A Light). Le soutien de ses accompagnateurs est bien sûr capital : Michael Emerson (keyboards), Randy McDonald (basse), Bowen Brown (drums), que ce soit dans Ride, un morceau autobiographique de Castro, ou dans le genre « rock épicé swamp pop » comme Got A Lot ou dans de superbes ballades soul comme Died And Gone To Heaven ou encore un I'm Qualified, emprunté à Clarence Carter. Outre Bad Luck, il y encore d'autres superbes blues comme Lose Lose et All About The Cash. Une réussite de plus dans la disographie de Tommy Castro. (Robert Sacré)
Guitare, Voix