Vendredi 18/11/2016
Antonio Castrignanò
Figure incontournable d'un mouvement culturel ancré depuis des générations dans la région italienne du Salento (Pouilles), Antonio Castrignanò, incarne à lui tout seul la fougue, l'énergie et la démesure d'une tradition musicale terriblement moderne qui fait vibrer tout le sud de l'Italie. Mais au-delà des frontières du Salento, ce mouvement fédérateur a su attirer des musiciens du monde entier comme en témoigne son dernier album « Fomenta – Ilenu de Taranta », produit par Mercan Dede le maître de l'electronica orientale du Bosphore, à découvrir !
= Ils en parlent =
La frénétique pizzica italienne se réinvente encore avec ce chanteur charismatique venu des Pouilles qui concilie le son roots de cette fièvre populaire avec la production électronique de Mercan Dede. Le résultat est bluffant. (Télérama Sortir)
Antonio Castrignano reprend certaines mélodies de ce patrimoine (salentin) qu'il revitalise avec une énergie rock. (Le Monde)
La tradition salentine modernisée par Castrignano, en plus de surfer sur d'irrésistibles tempos, valorise le dialecte de Lecce via une diction frénétique parfois proche du...raggamuffin ! Jusqu'à la transe miraculeuse. De quoi perdre son latin tout en restant vivant. (L'alsace)
Figure incontournable d'un mouvement culturel ancré depuis des générations dans la région italienne du Salento (Pouilles), Antonio Castrignanò, incarne à lui tout seul la fougue, l'énergie et la démesure d'une tradition musicale terriblement moderne qui fait vibrer tout le sud de l'Italie. Mais au-delà des frontières du Salento, ce mouvement fédérateur a su attirer des musiciens du monde entier comme en témoigne son dernier album « Fomenta – Ilenu de Taranta », produit par Mercan Dede le maître de l'electronica orientale du Bosphore, à découvrir !
= Ils en parlent =
La frénétique pizzica italienne se réinvente encore avec ce chanteur charismatique venu des Pouilles qui concilie le son roots de cette fièvre populaire avec la production électronique de Mercan Dede. Le résultat est bluffant. (Télérama Sortir)
Antonio Castrignano reprend certaines mélodies de ce patrimoine (salentin) qu'il revitalise avec une énergie rock. (Le Monde)
La tradition salentine modernisée par Castrignano, en plus de surfer sur d'irrésistibles tempos, valorise le dialecte de Lecce via une diction frénétique parfois proche du...raggamuffin ! Jusqu'à la transe miraculeuse. De quoi perdre son latin tout en restant vivant. (L'alsace)