Jeudi 02/02/2017
Ngoni
Abou Diarra
Abou Diarra compte parmi ces artistes rares qui ne s’engagent dans un nouveau projet qu’après y avoir été poussés par une nécessité intérieure profonde.
« Koya », ainsi nommé pour rendre hommage à sa mère éponyme, s’inscrit dans la continuité d’une longue réflexion musicale en même temps qu’il emprunte de nouvelles directions.
Pour la première fois, Abou se confronte aux tissages de samples de Nicolas Repac, à ses grooves plus electro, mais aussi au blues de l’harmoniciste Vincent Bucher. Pour autant, au kamele n’goni comme au chant, habilement soutenu par Toumani Diabaté, et les musiciens du Donko Band, il ne s’écarte jamais d’une spiritualité musicale authentiquement malienne.
La ferveur d’Abou Diarra transparaît dans chaque note de cet album tout de richesse humble et entièrement à son image : une sincérité absolue, une pleine acceptation de la vie considérée comme un devenir constant, et surplombant le tout, le sentiment serein d’une harmonie supérieure.
= Ils en parlent =
Venu présenter « Koya », un quatrième album judicieusement arrangé par Nicolas Repac, le joueur de kamele n’goni, la harpe-luth des chasseurs mandingues, s’offre une virée majestueuse en terre de blues, avec l’harmonica de Vincent Bucher, lonesome cow-boy rodé aux pulsations africaines. (Télérama)
L'un des plus beaux albums de musique métisse de l'année. (FIP)
Mystique et chaude, sa musique est planante... et nous mène ailleurs, en terrain inconnu, mais familier. (Métro)
Abou Diarra compte parmi ces artistes rares qui ne s’engagent dans un nouveau projet qu’après y avoir été poussés par une nécessité intérieure profonde.
« Koya », ainsi nommé pour rendre hommage à sa mère éponyme, s’inscrit dans la continuité d’une longue réflexion musicale en même temps qu’il emprunte de nouvelles directions.
Pour la première fois, Abou se confronte aux tissages de samples de Nicolas Repac, à ses grooves plus electro, mais aussi au blues de l’harmoniciste Vincent Bucher. Pour autant, au kamele n’goni comme au chant, habilement soutenu par Toumani Diabaté, et les musiciens du Donko Band, il ne s’écarte jamais d’une spiritualité musicale authentiquement malienne.
La ferveur d’Abou Diarra transparaît dans chaque note de cet album tout de richesse humble et entièrement à son image : une sincérité absolue, une pleine acceptation de la vie considérée comme un devenir constant, et surplombant le tout, le sentiment serein d’une harmonie supérieure.
= Ils en parlent =
Venu présenter « Koya », un quatrième album judicieusement arrangé par Nicolas Repac, le joueur de kamele n’goni, la harpe-luth des chasseurs mandingues, s’offre une virée majestueuse en terre de blues, avec l’harmonica de Vincent Bucher, lonesome cow-boy rodé aux pulsations africaines. (Télérama)
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