Mardi 18/07/2017
Piano
Basse
Batterie
Joey Alexander
Joey Alexander est un génie du jazz. A seulement 14 ans, il est invité sur les scènes du monde entier.
Né à Bali le 25 juin 2003, le pianiste Joey Alexander a d'abord découvert le jazz grâce à son père, qui a lui a fait écouter une variété de classiques du genre, issus de sa vaste collection d'albums. A 6 ans, Joey a commencé à apprendre le piano tout seul, avec le petit clavier électronique que lui avait donné son père. Il a aussitôt été capable de reproduire la mélodie de Thelonius Monk, « Well, You Needn't », mais il ne s'est pas arrêté là.
Alors qu'il avait 8 ans, l'UNESCO l'a invité à jouer en solo pour un Herbie Hancock enchanté lors d'une visite du grand artiste en Indonésie. Joey plus tard fera remarquer à Herbie Hancock: « vous m'avez dit que vous croyiez en moi et depuis ce jour j'ai décidé de consacrer mon enfance au jazz. »
A 9 ans, Joey a gagné le grand prix du premier Master-Jam Fest, une compétition ouverte à tous les âges, qui se déroule en Ukraine et réunit 200 candidats de 17 nationalités différentes.
A 10 ans il jouait déjà dans des festivals de jazz à Jakarta et Copenhague.
« My Favorite Things », le premier album de Joey Alexander, sorti en 2015 sur Motema Music, a obtenu deux nominations aux Grammy Awards dans la catégorie du meilleur album de jazz instrumental et de la meilleure improvisation solo pour sa performance de « Giant Steps » de John Coltrane, faisant de lui, à 12 ans, le plus jeune artiste jamais nominé aux Grammies.
Ses performances pour l'enregistrement de la 58ème cérémonie des Grammy Awards - bien plus magique que ce qui était attendu - ont reçu une standing ovation de la prestigieuse audience et a ainsi porté son talent à l'attention des mélomanes du monde entier, subjuguant les sommités du milieu, et inspirant d'autres jeunes artistes à poursuivre leurs propres rêves.
Wynton Marsalis dit de Joey, « Personne ne me vient en tête, qui aurait pu jouer comme Joey au même âge. J'aime tout dans son jeu, son rythme, son assurance, sa compréhension de la musique. »
Aujourd'hui, alors qu'il entre dans l'adolescence, Joey prend une autre direction artistique avec la sortie de « Countdown », son très attendu 2ème album. Les 9 chansons mettent en avant le remarquable développement de Joey en tant que leader de groupe et confirme son talent de compositeur.
Il aborde des morceaux connus avec une approche revigorante et les combine sans différenciation avec trois de ses propres compositions originales d'une manière qui invite à la fois les nouveaux auditeurs et les habitués ; il révèle le coeur et l'âme, sensibles et sincères, de sa personnalité de musiciens.
« Vous savez j'aime à la fois créer de la musique en studio et jouer sur scène pour les gens, » explique-t-il, « mais je dois avouer qu'il y a quelque chose de vraiment spécial à susciter l'enthousiasme d'une foule en jouant du jazz live. La plupart du temps j'essaie de rester calme, mais j'adore l'énergie intense qui nait entre le public et moi-même. Quand ils expriment leur ferveur de cette manière, je suis poussé à aller puiser plus profondément encore en moi-même, en tant que personne et musicien, à améliorer mon jeu et créer de nouveaux sons excitants. »
Depuis, le Joey Alexander Trio a joué dans des salles de concert et dans des festivals majeurs, aux Etats-Unis et dans le monde entier, avec des dates de tournée à Tel Aviv, Marciac, Montréal, Abu Dhabi, Singapour, Berne, Prague, Vienne, Pérouse et son Indonésie natale.
Les médias se sont évidemment intéressés à lui et on l'a vu dans des shows et en interview au Petit Journal de Canal+ en France, et aux US sur The Today Show, 60 Minutes, CNN, The New York Times et invité encore sur d'autres radios, télés et journaux.
Capitalisant sur le swing et le style d'improvisation qui ont fait de son premier projet un succès critique et populaire, « Countdown » est à l'image du développement et de la maturité de Joey Alexander en tant qu'artiste, et un pas de plus assuré vers un futur sans limites.
= Ils en parlent =
Enfant prodige du piano, le Philippin Joey Alexander (14 ans) en est déjà à son deuxième album, et le nouveau confirme son talent, reconnu tôt par des gens comme Wayne Shorter et Herbie Hancock. On ne le manquera pas en concert. (Michel Contat, Télérama)
Bientôt 12 ans ! A écouter Joey Alexander jouer « Giant Steps » et déjouer les pièges de cette grille coltranienne casse-gueule entre toutes, on se dit que ce garçonnet a été mis au piano dès la maternité. Ce n'est pas tout d'être un enfant prodige, encore faut-il avoir de la musique des pieds à la tête et pas seulement dans les doigts. Cet Indonésien désormais établi aux Etats-Unis, découvert par Wynton Marsalis, porté aux nues par Herbie Hancock et admiré par Bill Clinton, arrive avec un premier disque qui offre beaucoup mieux que de l'épate.
Qu'on écoute la ballade qu'il joue en solo, l'inusable « Over the rainbow » emprunté au Magicien d'Oz, Joey lui redonne en toute simplicité cette grâce : l'esprit d'enfance. En trio ou en duo, avec Larry Grenadier sur quatre titres, le contrebassiste pilier du Brad Mehldau Trio, Alexander se révèle un musicien réfléchi, aux inventions mélodiques intelligemment construites, à la sensibilité vibrante (Lush Life), à l'exubérance rythmique parfaitement contrôlée. Son choix des thèmes prouve aussi une culture jazz enracinée : deux thèmes de Thelonious Monk (« 'Round Midnight », « I mean you »), le ravissant « My favorite things », le trop peu joué « Tour de force », pur bop de Dizzy Gillespie, et l'un des plus beaux standards, « It might as well be spring », plus un blues original du pianiste lui-même. On ne peut faire moins que les musiciens qui prennent ici plaisir à saluer ce jeune talent en le soutenant. (Michel Contat, Télérama)
A 12 ans le pianiste de jazz indonésien sort un premier album d'une maîtrise absolue. Accompagné de la jeune garde new-yorkaise Joey Alexander y reprend sans complexe Coltrane, Gillespie, Monk ou Strayhorn.
Dans la longue liste des virtuoses précoces le pianiste, né à Denpasar (Bali) en 2003, se distingue par sa maîtrise et sa maturité dans l'art de l'arrangement, du swing et de l'improvisation. Si l'on ajoute la sensibilité de son interprétation, le pianiste Joey Alexander> redonne tout son sens au mot prodige... (FIP)
Production : New Morning
Joey Alexander est un génie du jazz. A seulement 14 ans, il est invité sur les scènes du monde entier.
Né à Bali le 25 juin 2003, le pianiste Joey Alexander a d'abord découvert le jazz grâce à son père, qui a lui a fait écouter une variété de classiques du genre, issus de sa vaste collection d'albums. A 6 ans, Joey a commencé à apprendre le piano tout seul, avec le petit clavier électronique que lui avait donné son père. Il a aussitôt été capable de reproduire la mélodie de Thelonius Monk, « Well, You Needn't », mais il ne s'est pas arrêté là.
Alors qu'il avait 8 ans, l'UNESCO l'a invité à jouer en solo pour un Herbie Hancock enchanté lors d'une visite du grand artiste en Indonésie. Joey plus tard fera remarquer à Herbie Hancock: « vous m'avez dit que vous croyiez en moi et depuis ce jour j'ai décidé de consacrer mon enfance au jazz. »
A 9 ans, Joey a gagné le grand prix du premier Master-Jam Fest, une compétition ouverte à tous les âges, qui se déroule en Ukraine et réunit 200 candidats de 17 nationalités différentes.
A 10 ans il jouait déjà dans des festivals de jazz à Jakarta et Copenhague.
« My Favorite Things », le premier album de Joey Alexander, sorti en 2015 sur Motema Music, a obtenu deux nominations aux Grammy Awards dans la catégorie du meilleur album de jazz instrumental et de la meilleure improvisation solo pour sa performance de « Giant Steps » de John Coltrane, faisant de lui, à 12 ans, le plus jeune artiste jamais nominé aux Grammies.
Ses performances pour l'enregistrement de la 58ème cérémonie des Grammy Awards - bien plus magique que ce qui était attendu - ont reçu une standing ovation de la prestigieuse audience et a ainsi porté son talent à l'attention des mélomanes du monde entier, subjuguant les sommités du milieu, et inspirant d'autres jeunes artistes à poursuivre leurs propres rêves.
Wynton Marsalis dit de Joey, « Personne ne me vient en tête, qui aurait pu jouer comme Joey au même âge. J'aime tout dans son jeu, son rythme, son assurance, sa compréhension de la musique. »
Aujourd'hui, alors qu'il entre dans l'adolescence, Joey prend une autre direction artistique avec la sortie de « Countdown », son très attendu 2ème album. Les 9 chansons mettent en avant le remarquable développement de Joey en tant que leader de groupe et confirme son talent de compositeur.
Il aborde des morceaux connus avec une approche revigorante et les combine sans différenciation avec trois de ses propres compositions originales d'une manière qui invite à la fois les nouveaux auditeurs et les habitués ; il révèle le coeur et l'âme, sensibles et sincères, de sa personnalité de musiciens.
« Vous savez j'aime à la fois créer de la musique en studio et jouer sur scène pour les gens, » explique-t-il, « mais je dois avouer qu'il y a quelque chose de vraiment spécial à susciter l'enthousiasme d'une foule en jouant du jazz live. La plupart du temps j'essaie de rester calme, mais j'adore l'énergie intense qui nait entre le public et moi-même. Quand ils expriment leur ferveur de cette manière, je suis poussé à aller puiser plus profondément encore en moi-même, en tant que personne et musicien, à améliorer mon jeu et créer de nouveaux sons excitants. »
Depuis, le Joey Alexander Trio a joué dans des salles de concert et dans des festivals majeurs, aux Etats-Unis et dans le monde entier, avec des dates de tournée à Tel Aviv, Marciac, Montréal, Abu Dhabi, Singapour, Berne, Prague, Vienne, Pérouse et son Indonésie natale.
Les médias se sont évidemment intéressés à lui et on l'a vu dans des shows et en interview au Petit Journal de Canal+ en France, et aux US sur The Today Show, 60 Minutes, CNN, The New York Times et invité encore sur d'autres radios, télés et journaux.
Capitalisant sur le swing et le style d'improvisation qui ont fait de son premier projet un succès critique et populaire, « Countdown » est à l'image du développement et de la maturité de Joey Alexander en tant qu'artiste, et un pas de plus assuré vers un futur sans limites.
= Ils en parlent =
Enfant prodige du piano, le Philippin Joey Alexander (14 ans) en est déjà à son deuxième album, et le nouveau confirme son talent, reconnu tôt par des gens comme Wayne Shorter et Herbie Hancock. On ne le manquera pas en concert. (Michel Contat, Télérama)
Bientôt 12 ans ! A écouter Joey Alexander jouer « Giant Steps » et déjouer les pièges de cette grille coltranienne casse-gueule entre toutes, on se dit que ce garçonnet a été mis au piano dès la maternité. Ce n'est pas tout d'être un enfant prodige, encore faut-il avoir de la musique des pieds à la tête et pas seulement dans les doigts. Cet Indonésien désormais établi aux Etats-Unis, découvert par Wynton Marsalis, porté aux nues par Herbie Hancock et admiré par Bill Clinton, arrive avec un premier disque qui offre beaucoup mieux que de l'épate.
Qu'on écoute la ballade qu'il joue en solo, l'inusable « Over the rainbow » emprunté au Magicien d'Oz, Joey lui redonne en toute simplicité cette grâce : l'esprit d'enfance. En trio ou en duo, avec Larry Grenadier sur quatre titres, le contrebassiste pilier du Brad Mehldau Trio, Alexander se révèle un musicien réfléchi, aux inventions mélodiques intelligemment construites, à la sensibilité vibrante (Lush Life), à l'exubérance rythmique parfaitement contrôlée. Son choix des thèmes prouve aussi une culture jazz enracinée : deux thèmes de Thelonious Monk (« 'Round Midnight », « I mean you »), le ravissant « My favorite things », le trop peu joué « Tour de force », pur bop de Dizzy Gillespie, et l'un des plus beaux standards, « It might as well be spring », plus un blues original du pianiste lui-même. On ne peut faire moins que les musiciens qui prennent ici plaisir à saluer ce jeune talent en le soutenant. (Michel Contat, Télérama)
A 12 ans le pianiste de jazz indonésien sort un premier album d'une maîtrise absolue. Accompagné de la jeune garde new-yorkaise Joey Alexander y reprend sans complexe Coltrane, Gillespie, Monk ou Strayhorn.
Dans la longue liste des virtuoses précoces le pianiste, né à Denpasar (Bali) en 2003, se distingue par sa maîtrise et sa maturité dans l'art de l'arrangement, du swing et de l'improvisation. Si l'on ajoute la sensibilité de son interprétation, le pianiste Joey Alexander> redonne tout son sens au mot prodige... (FIP)
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