Vendredi 16/03/2018
Guitare, Harmonica, Voix
Guitare
Batterie
Basse
Claviers
Elliott Murphy
Une véritable légende folk-rock ! Véritable mythe auprès de ses fans du monde entier, écrivain, poète et troubadour, il a réalisé plus de 30 albums à ce jour sans aucune compromission ni souci de séduction facile. Artiste prolixe et multifacette, Elliott Murphy fait partie du gratin des plus grands singer/songwriters américains dont la qualité des textes se rapproche de la grande littérature/poésie.
= Ils en parlent =
Plus de quarante ans déjà qu'Elliott Murphy a publié son carré d'albums (d' « Aquashow » à « Just a story from Ame¬rica ») qui l'a fait rejoindre le club des songwriters chers aux amateurs d'un rock romantique et littéraire nourri à Dylan et Lou Reed. Et autant d'années depuis que le New-Yorkais exilé à Paris grave des disques qui en entretiennent la mémoire, voire la flamme. Ce bienvenu Prodigal Son semble avoir bénéficié de la revisitation récente par Murphy de son coup de maître initial en 1973. Alors que « It takes a worried man » (2013) le voyait se couler dans le moule d'un baladin folk blues auquel il ne restait plus que l'éclat des mots, ce trentième essai le voit renouer avec son don mélodique. Et si les enlevés « Chelsea Boots » et « Hey little sister » manquent un peu de la fougue de « Last of the rock stars », « Let me in » ou « Wit's End » prolongent la veine du classique Rock Ballad. « Prodigal Son », sobrement produit par Gaspard Murphy, le fils, risque de revenir plus souvent sur nos platines que ses prédécesseurs. Peut-être même que les douze minutes d' « Absalom », « Davy & Jackie O » finiront par paraître courtes. (Hugo Cassavetti, Télérama)
Lorsque « Aquashow », le tout premier album d'ELLIOTT MURPHY, sort en novembre 1973, les critiques unanimes lui réservent un accueil triomphal. On voit fleurir des articles dans des journaux aussi prestigieux que Rolling Stone, Newsweek, The New Yorker... Radios et télévisions enfoncent le clou et consacrent ELLIOTT comme le nouveau Dylan, le nouveau Lou Reed ou le F. Scott Fitzgerald du Rock'n'roll.
Ces comparaisons restent éminemment flatteuses, mais immergent notre homme dans l'habituel et réducteur jeu des comparaisons que connaissent bien des nouveaux venus. En fait, ce que fut ELLIOTT MURPHY - et surtout ce qu'il demeure contre vents et marées depuis plus de trente-cinq ans - se décline sur une riche palette d'adjectifs, de rôles et de compétences qui forcent le respect. Disons le tout de go : MURPHY est avant tout cet artiste prolixe, ce compositeur-guitariste inspiré, ce chanteur charismatique, cet infatigable et authentique baladin qu'une unique carrière de plus de trente albums porta jusqu'à nous, sans compromission ni souci de séduction facile. Et aussi, sans doute, les plus français des « songwriters » USA.
Ses admirateurs dans le monde de la musique sont légions. On pourrait citer Peter Buck (REM), The Violent Femmes, Paul Rothchild (le producteur des Doors), Lou Reed, Elvis Costello et Bruce Springsteen. Parmi les prestigieux musiciens qui l'ont accompagné, on se souvient de certains membres des Talking Heads, du Velvet Underground, des Violent Femmes, ainsi que l'ex-Stone Mick Taylor, Chris Spedding, Phil Collins, Billy Joel ou encore Bruce Springsteen qui l'invite régulièrement à partager la scène avec lui lors de ses tournées européennes.
Aujourd'hui ELLIOTT MURPHY vit à Paris et il ne cesse de tourner avec son guitariste extraordinaire Olivier Durand. Notre musicien est aussi un pétrisseur de mots. Il a rédigé un recueil de nouvelles (Café Notes) deux romans (Poetic Justice & Marty May) publié en plusieurs langues. C'est aussi lui qui signa les notes de la pochette du désormais légendaire "Live 69" du Velvet Underground. Polyvalent, on le vit également tenir un petit rôle au cinéma dans le Roma de Fellini. En 2012, Elliott Murphy fut distingué de la médaille Vermeil de la ville de Paris par le maire Bertrand Delanoé. Il a été nommé Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres ce mercredi 4 novembre 2015. Sortie Internationale en 2017 du film "THE SECOND ACT OF ELLIOTT MURPHY" (Prix du Public Dock of the Bay Film Festival, San Sebastian, Espagne).
« Prodigal Son » (sorti le 19 Mai 2017 en Europe et aux USA).
Pour la première fois en trois ans, Eliott nous gratifie d'un disque avec des compositions 100% originales, marquant un pas en avant dans l'écriture et la musique d'un des plus légendaires rockeurs et singer-songwriter américain. « Prodigal Son » a été enregistré à Paris au studio Question De Son où des artistes comme Beck ou Kanye West y ont travaillé. Elliott est accompagné de son fidèle groupe Les Normandy All Stars (Alan Fatras, Laurent Pardo et le guitariste virtuose Olivier Durand). Malheureusement à la fin même de l'enregistrement, Laurent Pardo nous quitte subitement et c'est du fond du coeur que Elliott lui dédie cet album. « Prodigal Son » a été produit, mixé et arrangé par Gaspard Murphy, le fils d'Elliott, producteur plein de promesses.
Les point forts de cet album incluent l'hymne fédérateur "Chelsea Boots", le love-song poignant "Let Me In" et l'histoire touchante d'une jeune fille qui arrive à l'âge adulte "Hey Little Sister". L'album se termine avec la chanson la plus longue de la carrière d'Elliott Murphy: "Absalom, Davy & Jacky O" un film noir, épopée biblique et "Tarrantinienne", raconté dans une chanson de 11 minutes. Succédant la sortie du documentaire THE SECOND ACT OF ELLIOTT MURPHY où l'on peut y voir une interview de Bruce Springsteen : "Eliott n'a jamais écrit de mauvaise chanson" ou même Billy Joel "[...] je savais qu'il était grand dès la première fois que je l'ai vu", « Prodigal Son restera dans les annales de l'histoire du rock comme un des meilleurs album de la longue et fabuleuse carrière du chanteur américain qui commençait avec « Aquashow » en 1973.
Production : New Morning
Une véritable légende folk-rock ! Véritable mythe auprès de ses fans du monde entier, écrivain, poète et troubadour, il a réalisé plus de 30 albums à ce jour sans aucune compromission ni souci de séduction facile. Artiste prolixe et multifacette, Elliott Murphy fait partie du gratin des plus grands singer/songwriters américains dont la qualité des textes se rapproche de la grande littérature/poésie.
= Ils en parlent =
Plus de quarante ans déjà qu'Elliott Murphy a publié son carré d'albums (d' « Aquashow » à « Just a story from Ame¬rica ») qui l'a fait rejoindre le club des songwriters chers aux amateurs d'un rock romantique et littéraire nourri à Dylan et Lou Reed. Et autant d'années depuis que le New-Yorkais exilé à Paris grave des disques qui en entretiennent la mémoire, voire la flamme. Ce bienvenu Prodigal Son semble avoir bénéficié de la revisitation récente par Murphy de son coup de maître initial en 1973. Alors que « It takes a worried man » (2013) le voyait se couler dans le moule d'un baladin folk blues auquel il ne restait plus que l'éclat des mots, ce trentième essai le voit renouer avec son don mélodique. Et si les enlevés « Chelsea Boots » et « Hey little sister » manquent un peu de la fougue de « Last of the rock stars », « Let me in » ou « Wit's End » prolongent la veine du classique Rock Ballad. « Prodigal Son », sobrement produit par Gaspard Murphy, le fils, risque de revenir plus souvent sur nos platines que ses prédécesseurs. Peut-être même que les douze minutes d' « Absalom », « Davy & Jackie O » finiront par paraître courtes. (Hugo Cassavetti, Télérama)
Lorsque « Aquashow », le tout premier album d'ELLIOTT MURPHY, sort en novembre 1973, les critiques unanimes lui réservent un accueil triomphal. On voit fleurir des articles dans des journaux aussi prestigieux que Rolling Stone, Newsweek, The New Yorker... Radios et télévisions enfoncent le clou et consacrent ELLIOTT comme le nouveau Dylan, le nouveau Lou Reed ou le F. Scott Fitzgerald du Rock'n'roll.
Ces comparaisons restent éminemment flatteuses, mais immergent notre homme dans l'habituel et réducteur jeu des comparaisons que connaissent bien des nouveaux venus. En fait, ce que fut ELLIOTT MURPHY - et surtout ce qu'il demeure contre vents et marées depuis plus de trente-cinq ans - se décline sur une riche palette d'adjectifs, de rôles et de compétences qui forcent le respect. Disons le tout de go : MURPHY est avant tout cet artiste prolixe, ce compositeur-guitariste inspiré, ce chanteur charismatique, cet infatigable et authentique baladin qu'une unique carrière de plus de trente albums porta jusqu'à nous, sans compromission ni souci de séduction facile. Et aussi, sans doute, les plus français des « songwriters » USA.
Ses admirateurs dans le monde de la musique sont légions. On pourrait citer Peter Buck (REM), The Violent Femmes, Paul Rothchild (le producteur des Doors), Lou Reed, Elvis Costello et Bruce Springsteen. Parmi les prestigieux musiciens qui l'ont accompagné, on se souvient de certains membres des Talking Heads, du Velvet Underground, des Violent Femmes, ainsi que l'ex-Stone Mick Taylor, Chris Spedding, Phil Collins, Billy Joel ou encore Bruce Springsteen qui l'invite régulièrement à partager la scène avec lui lors de ses tournées européennes.
Aujourd'hui ELLIOTT MURPHY vit à Paris et il ne cesse de tourner avec son guitariste extraordinaire Olivier Durand. Notre musicien est aussi un pétrisseur de mots. Il a rédigé un recueil de nouvelles (Café Notes) deux romans (Poetic Justice & Marty May) publié en plusieurs langues. C'est aussi lui qui signa les notes de la pochette du désormais légendaire "Live 69" du Velvet Underground. Polyvalent, on le vit également tenir un petit rôle au cinéma dans le Roma de Fellini. En 2012, Elliott Murphy fut distingué de la médaille Vermeil de la ville de Paris par le maire Bertrand Delanoé. Il a été nommé Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres ce mercredi 4 novembre 2015. Sortie Internationale en 2017 du film "THE SECOND ACT OF ELLIOTT MURPHY" (Prix du Public Dock of the Bay Film Festival, San Sebastian, Espagne).
« Prodigal Son » (sorti le 19 Mai 2017 en Europe et aux USA).
Pour la première fois en trois ans, Eliott nous gratifie d'un disque avec des compositions 100% originales, marquant un pas en avant dans l'écriture et la musique d'un des plus légendaires rockeurs et singer-songwriter américain. « Prodigal Son » a été enregistré à Paris au studio Question De Son où des artistes comme Beck ou Kanye West y ont travaillé. Elliott est accompagné de son fidèle groupe Les Normandy All Stars (Alan Fatras, Laurent Pardo et le guitariste virtuose Olivier Durand). Malheureusement à la fin même de l'enregistrement, Laurent Pardo nous quitte subitement et c'est du fond du coeur que Elliott lui dédie cet album. « Prodigal Son » a été produit, mixé et arrangé par Gaspard Murphy, le fils d'Elliott, producteur plein de promesses.
Les point forts de cet album incluent l'hymne fédérateur "Chelsea Boots", le love-song poignant "Let Me In" et l'histoire touchante d'une jeune fille qui arrive à l'âge adulte "Hey Little Sister". L'album se termine avec la chanson la plus longue de la carrière d'Elliott Murphy: "Absalom, Davy & Jacky O" un film noir, épopée biblique et "Tarrantinienne", raconté dans une chanson de 11 minutes. Succédant la sortie du documentaire THE SECOND ACT OF ELLIOTT MURPHY où l'on peut y voir une interview de Bruce Springsteen : "Eliott n'a jamais écrit de mauvaise chanson" ou même Billy Joel "[...] je savais qu'il était grand dès la première fois que je l'ai vu", « Prodigal Son restera dans les annales de l'histoire du rock comme un des meilleurs album de la longue et fabuleuse carrière du chanteur américain qui commençait avec « Aquashow » en 1973.
Guitare, Harmonica, Voix
Guitare
Batterie
Basse
Claviers