Samedi 07/04/2018
Voix
Claviers
Guitare
Basse
Batterie
Lizz Wright
Lizz Wright, c'est la diva soul qui incarne la simplicité. Cette artiste envoûtante à la voix chaude et charismatique nous entraine dans une belle célébration sudiste où s'entrecroisent jazz, blues, rock et gospel.
Depuis une quinzaine d'années, Lizz Wright creuse un sillon nourri de jazz, mais aussi (et même surtout) de soul, de blues et de gospel. Et elle le creuse avec une voix absolument remarquable : timbre chaud, grain à la fois doux et rugueux, puissance et retenue, justesse partout.
Le dernier projet de la chanteuse américaine Lizz Wright, « Grace », offre un aperçu saisissant du réseau d'histoires et de chansons dont les racines profondément ancrées et intimement entrelacées relient entre elles les traditions très diverses qui constituent l'âme du Sud profond des États-Unis. Wright convoque ici son héritage sudiste et l'esprit des lieux pour nous introduire dans un espace nourricier qui pulse et vibre de la suggestion muette que la grâce est le socle de notre état d'origine. Produit par le talentueux chanteur et « songwriter » Joe Henry, Grace permet à Wright de s'interroger sur sa place et d'affirmer sans détour son sentiment intime d'appartenance à la grande fabrique culturelle de l'Amérique. Liz Wright a enregistré « Grace » dans les conditions du direct sur Sunset Blvd à Los Angeles dans les studios United Recording soutenue par un casting de musiciens prestigieux. On trouve à ses côtés le pianiste et directeur de choeur basé à Atlanta Kenny Banks Sr., avec qui elle collabore depuis près de 20 ans maintenant, ainsi que le guitariste Marc Ribot, le bassiste David Piltch, les guitaristes Chris Bruce et Marvin Sewell, le batteur Jay Bellerose, et le claviériste Patrick Warren. Réunissant 10 chansons parmi lesquelles une composition originale co-écrite avec Maia Sharp (« All the Way Here »).
Les vastes paysages évoqués dans « Grace » sont transfigurés par la façon singulière qu'a Wright de s'accaparer les univers musicaux de Ray Charles, Allen Toussaint, Nina Simone, Sister Rosetta Tharpe, k.d. lang, Bob Dylan, Frank Perkins et Mitchell Parish, ainsi que d'artistes émergents comme Rose Cousins et Birds of Chicago.
Partant d'un corpus de près de 70 morceaux sélectionnés principalement par Joe Henry, 10 chansons ont été finalement choisies qui évoquent les origines rurales de Wright et le trajet parsemé d'histoires et de chansons qui l'a amenée à se produire dans le monde entier. Animée par un fort désir de parler de la grâce dès le début du projet, Wright a abandonné l'idée d'écrire la pièce titre après avoir entendu « Grace » de Rose Cousins. C'est la première pièce à donner son titre à l'un de ses albums que Wright n'ait pas composée après six enregistrements en studio.
Pour l'esprit général de l'album, Wright s'est inspirée d'un documentaire de 2015 intitulé « What Happened, Miss Simone? », dans lequel Nina Simone déclare dans un fragment d'interview, « Il est de la responsabilité d'un artiste de rendre compte de son temps. » Dans sa version de « Seems I'm Never Tired Lovin' You » Wright exprime de façon posée et tendre ce qu'est sa vie d'Américaine en 2017...
= Ils en parlent =
Certes, les aficionados de Lizz Wright savent bien que la chanteuse géorgienne compte parmi les plus belles voix de sa génération, mais force est de reconnaître que son nouvel album la positionne sur des cimes qu'elle avait rarement atteintes.
Une sensation sans doute liée à la thématique de cette cuvée 2017 sur laquelle Wright offre un aperçu saisissant du réseau d'histoires et de chansons dont les racines profondément ancrées et intimement entrelacées relient entre elles les traditions très diverses qui constituent l'âme du Sud profond des États-Unis.
Produit par l'un des pontes de l'Americana Joe Henry, cette célébration sudiste où s'entrecroisent jazz, blues, rock et gospel lui permet de briller dans des relectures de chansons signées notamment Ray Charles (« What Would I Do »), Allen Toussaint (« Southern Nights »), Nina Simone (« Seems I'm Never Tired Lovin' You »), Sister Rosetta Tharpe (« Singing in My Soul »), k.d. lang (« Wash Me Clean ») ou bien encore Bob Dylan (« Every Grain Of Sand »).
C'est surtout dans les séquences les plus feutrées, dans les instants où elle n'use guère de sa virtuosité technique, que Lizz Wright touche au sublime et s'approprie encore plus cet éclectique répertoire qui coule dans ses veines. Sa version de Southern Nights est d'un raffinement jamais complaisant, d'une subtilité qui caractérise l'ensemble de ce disque. (Quobuz)
Production : New Morning
Lizz Wright, c'est la diva soul qui incarne la simplicité. Cette artiste envoûtante à la voix chaude et charismatique nous entraine dans une belle célébration sudiste où s'entrecroisent jazz, blues, rock et gospel.
Depuis une quinzaine d'années, Lizz Wright creuse un sillon nourri de jazz, mais aussi (et même surtout) de soul, de blues et de gospel. Et elle le creuse avec une voix absolument remarquable : timbre chaud, grain à la fois doux et rugueux, puissance et retenue, justesse partout.
Le dernier projet de la chanteuse américaine Lizz Wright, « Grace », offre un aperçu saisissant du réseau d'histoires et de chansons dont les racines profondément ancrées et intimement entrelacées relient entre elles les traditions très diverses qui constituent l'âme du Sud profond des États-Unis. Wright convoque ici son héritage sudiste et l'esprit des lieux pour nous introduire dans un espace nourricier qui pulse et vibre de la suggestion muette que la grâce est le socle de notre état d'origine. Produit par le talentueux chanteur et « songwriter » Joe Henry, Grace permet à Wright de s'interroger sur sa place et d'affirmer sans détour son sentiment intime d'appartenance à la grande fabrique culturelle de l'Amérique. Liz Wright a enregistré « Grace » dans les conditions du direct sur Sunset Blvd à Los Angeles dans les studios United Recording soutenue par un casting de musiciens prestigieux. On trouve à ses côtés le pianiste et directeur de choeur basé à Atlanta Kenny Banks Sr., avec qui elle collabore depuis près de 20 ans maintenant, ainsi que le guitariste Marc Ribot, le bassiste David Piltch, les guitaristes Chris Bruce et Marvin Sewell, le batteur Jay Bellerose, et le claviériste Patrick Warren. Réunissant 10 chansons parmi lesquelles une composition originale co-écrite avec Maia Sharp (« All the Way Here »).
Les vastes paysages évoqués dans « Grace » sont transfigurés par la façon singulière qu'a Wright de s'accaparer les univers musicaux de Ray Charles, Allen Toussaint, Nina Simone, Sister Rosetta Tharpe, k.d. lang, Bob Dylan, Frank Perkins et Mitchell Parish, ainsi que d'artistes émergents comme Rose Cousins et Birds of Chicago.
Partant d'un corpus de près de 70 morceaux sélectionnés principalement par Joe Henry, 10 chansons ont été finalement choisies qui évoquent les origines rurales de Wright et le trajet parsemé d'histoires et de chansons qui l'a amenée à se produire dans le monde entier. Animée par un fort désir de parler de la grâce dès le début du projet, Wright a abandonné l'idée d'écrire la pièce titre après avoir entendu « Grace » de Rose Cousins. C'est la première pièce à donner son titre à l'un de ses albums que Wright n'ait pas composée après six enregistrements en studio.
Pour l'esprit général de l'album, Wright s'est inspirée d'un documentaire de 2015 intitulé « What Happened, Miss Simone? », dans lequel Nina Simone déclare dans un fragment d'interview, « Il est de la responsabilité d'un artiste de rendre compte de son temps. » Dans sa version de « Seems I'm Never Tired Lovin' You » Wright exprime de façon posée et tendre ce qu'est sa vie d'Américaine en 2017...
= Ils en parlent =
Certes, les aficionados de Lizz Wright savent bien que la chanteuse géorgienne compte parmi les plus belles voix de sa génération, mais force est de reconnaître que son nouvel album la positionne sur des cimes qu'elle avait rarement atteintes.
Une sensation sans doute liée à la thématique de cette cuvée 2017 sur laquelle Wright offre un aperçu saisissant du réseau d'histoires et de chansons dont les racines profondément ancrées et intimement entrelacées relient entre elles les traditions très diverses qui constituent l'âme du Sud profond des États-Unis.
Produit par l'un des pontes de l'Americana Joe Henry, cette célébration sudiste où s'entrecroisent jazz, blues, rock et gospel lui permet de briller dans des relectures de chansons signées notamment Ray Charles (« What Would I Do »), Allen Toussaint (« Southern Nights »), Nina Simone (« Seems I'm Never Tired Lovin' You »), Sister Rosetta Tharpe (« Singing in My Soul »), k.d. lang (« Wash Me Clean ») ou bien encore Bob Dylan (« Every Grain Of Sand »).
C'est surtout dans les séquences les plus feutrées, dans les instants où elle n'use guère de sa virtuosité technique, que Lizz Wright touche au sublime et s'approprie encore plus cet éclectique répertoire qui coule dans ses veines. Sa version de Southern Nights est d'un raffinement jamais complaisant, d'une subtilité qui caractérise l'ensemble de ce disque. (Quobuz)
Voix
Claviers
Guitare
Basse
Batterie
Première partie
Maylin & The Mad Machine
Ce que vous remarquerez pour la première fois à propos de Maylin, c'est sa voix: une voix avec une grande portée qui se sent à l'aise dans tous les registres et qui peut jouer avec toutes les facettes de son timbre chaud et envoûtant
Maylin vous invite à la suivre dans un voyage, avec une musique mélangeant la musique traditionnelle américaine avec la musique des cultures dans lesquelles elle a été immergée.
Elle est l'une de ces personnes qui ont vécu de nombreuses vies: Après avoir été mannequin à Milan, actrice à Paris (« La Reine Blanche ») et à New York (« In God's Hands », « 22 octobre »), puis en tant que chanteuse au « Whisky » à Los Angeles.
Aujourd'hui, elle est basée à Paris où elle trouve son épanouissement en tant qu'auteure-compositrice-interprète. Elle enregistre et joue en Europe et aux États-Unis avec son groupe « Maylin ».
Sur les traces de Bob Dylan, de Joni Mitchell, de Blind Willie Johnson et de John Lee Hooker pour n'en nommer que quelques-uns, Maylin embrasse l'esprit des bluesmen de manière simple et directe.
A travers ses textes (en anglais ou en français), ses poèmes et ses mélodies, elle raconte avec beaucoup d'émotion son parcours, ses pérégrinations, les leçons qu'elle a apprises, ses joies et les éveils de sa vie.
Accompagnée sur scène par Alex Sacleux à la guitare électrique et Ricardo Garatea aux percussions, Maylin à la guitare acoustique chante son histoire avec une voix sombre, sensuelle et chaleureuse.
= Ils en parlent =
S'il reste encore quelque chose d'un enfant en toi, elle le trouvera et te fera croire aux contes de fées. Et si vous êtes un adulte qui ne croit pas à toutes ces absurdités, elle vous emmènera toujours dans un pays que les agences de voyages n'ont pas encore exploré (Marc Albert-Levin, Jazz hot magazine).
Production : New Morning
Ce que vous remarquerez pour la première fois à propos de Maylin, c'est sa voix: une voix avec une grande portée qui se sent à l'aise dans tous les registres et qui peut jouer avec toutes les facettes de son timbre chaud et envoûtant
Maylin vous invite à la suivre dans un voyage, avec une musique mélangeant la musique traditionnelle américaine avec la musique des cultures dans lesquelles elle a été immergée.
Elle est l'une de ces personnes qui ont vécu de nombreuses vies: Après avoir été mannequin à Milan, actrice à Paris (« La Reine Blanche ») et à New York (« In God's Hands », « 22 octobre »), puis en tant que chanteuse au « Whisky » à Los Angeles.
Aujourd'hui, elle est basée à Paris où elle trouve son épanouissement en tant qu'auteure-compositrice-interprète. Elle enregistre et joue en Europe et aux États-Unis avec son groupe « Maylin ».
Sur les traces de Bob Dylan, de Joni Mitchell, de Blind Willie Johnson et de John Lee Hooker pour n'en nommer que quelques-uns, Maylin embrasse l'esprit des bluesmen de manière simple et directe.
A travers ses textes (en anglais ou en français), ses poèmes et ses mélodies, elle raconte avec beaucoup d'émotion son parcours, ses pérégrinations, les leçons qu'elle a apprises, ses joies et les éveils de sa vie.
Accompagnée sur scène par Alex Sacleux à la guitare électrique et Ricardo Garatea aux percussions, Maylin à la guitare acoustique chante son histoire avec une voix sombre, sensuelle et chaleureuse.
= Ils en parlent =
S'il reste encore quelque chose d'un enfant en toi, elle le trouvera et te fera croire aux contes de fées. Et si vous êtes un adulte qui ne croit pas à toutes ces absurdités, elle vous emmènera toujours dans un pays que les agences de voyages n'ont pas encore exploré (Marc Albert-Levin, Jazz hot magazine).
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