Lundi 30/07/2018

Festival « All Stars »
Lun 30 Juil 2018 : Kyle Eastwood Quintet
Kyle Eastwood
Basse, Contrebasse
Andrew Mccormack
Piano
Chris Higginbottom
Batterie
Quentin Collins
Trompette
Brandon Allen
Saxophone

Kyle Eastwood Quintet

Nouvel album : "In Transit"
Jazz

Bassiste et contrebassiste, le fils de Clint Eastwood tient de son père la passion absolue du jazz et le talent inné de la partager. Kyle est de cette nouvelle génération qui réinvente le genre en respectant ses maîtres, repoussant toujours plus loin les frontières de son univers dans la quête d'une tradition à la fois revendiquée et renouvelée. Prodigue inventif d'un jeu élégant et raffiné au son chaud et profond, allant droit à l'essentiel, il explore inlassablement les possibilités de la basse, magique instrument à la fois mélodique et rythmique.

Depuis son apparition sur la scène jazz internationale au milieu des années 90, c'est avec un mélange bien à lui d'indépendance, d'élégance, de ténacité et d'humilité que Kyle Eastwood a entrepris de tracer son propre chemin dans le foisonnement des genres et des styles constituant désormais cette musique. Après avoir fait paraître en 1998 un tout premier disque intitulé « From There to Here », où s'affirmait avec éclat et sans la moindre distanciation maniériste son amour et sa connaissance intime de l'âge d'or du jazz orchestral des années 50, le contrebassiste, alors tout juste âgé de 30 ans, a ressenti le besoin de se détourner un temps de ces références si magistralement posées dans ce disque aux allures de manifeste, en aventurant son univers tout au long de la décennie suivante dans des projets hybrides et subtilement trans-genres, flirtant, au gré d'albums aussi éclectiques que raffinés, avec l'électro-jazz cool et sophistiqué, le smooth jazz aux accents « seventies » et résolument groovy, voire piocher dans le « arty », chic, urbain et métissé.

Kyle Eastwood est de retour avec « In Transit », qui s'inscrit sans ambiguïté dans cette continuité pour mener l'ensemble encore un peu plus loin dans le sens de la cohésion organique et de la création « partagée ».

Kyle Eastwood rend un hommage appuyé au jazz de la fin des années 50 et du début des années 60, ce hard bop lyrique, plein de groove et aux harmonies sophistiquées que jouaient les Jazz Messengers d'Art Blakey, les formations d'Horace Silver sur le label Blue Note, ou les différents quintets de Miles Davis tout au long des sixties.

Production : New Morning

Bassiste et contrebassiste, le fils de Clint Eastwood tient de son père la passion absolue du jazz et le talent inné de la partager. Kyle est de cette nouvelle génération qui réinvente le genre en respectant ses maîtres, repoussant toujours plus loin les frontières de son univers dans la quête d'une tradition à la fois revendiquée et renouvelée. Prodigue inventif d'un jeu élégant et raffiné au son chaud et profond, allant droit à l'essentiel, il explore inlassablement les possibilités de la basse, magique instrument à la fois mélodique et rythmique.

Depuis son apparition sur la scène jazz internationale au milieu des années 90, c'est avec un mélange bien à lui d'indépendance, d'élégance, de ténacité et d'humilité que Kyle Eastwood a entrepris de tracer son propre chemin dans le foisonnement des genres et des styles constituant désormais cette musique. Après avoir fait paraître en 1998 un tout premier disque intitulé « From There to Here », où s'affirmait avec éclat et sans la moindre distanciation maniériste son amour et sa connaissance intime de l'âge d'or du jazz orchestral des années 50, le contrebassiste, alors tout juste âgé de 30 ans, a ressenti le besoin de se détourner un temps de ces références si magistralement posées dans ce disque aux allures de manifeste, en aventurant son univers tout au long de la décennie suivante dans des projets hybrides et subtilement trans-genres, flirtant, au gré d'albums aussi éclectiques que raffinés, avec l'électro-jazz cool et sophistiqué, le smooth jazz aux accents « seventies » et résolument groovy, voire piocher dans le « arty », chic, urbain et métissé.

Kyle Eastwood est de retour avec « In Transit », qui s'inscrit sans ambiguïté dans cette continuité pour mener l'ensemble encore un peu plus loin dans le sens de la cohésion organique et de la création « partagée ».

Kyle Eastwood rend un hommage appuyé au jazz de la fin des années 50 et du début des années 60, ce hard bop lyrique, plein de groove et aux harmonies sophistiquées que jouaient les Jazz Messengers d'Art Blakey, les formations d'Horace Silver sur le label Blue Note, ou les différents quintets de Miles Davis tout au long des sixties.


Kyle Eastwood
Basse, Contrebasse
Andrew Mccormack
Piano
Chris Higginbottom
Batterie
Quentin Collins
Trompette
Brandon Allen
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