Jeudi 31/01/2019
Contrebasse
Clarinette, Saxophone alto
Guitare
Saxophone soprano, Saxophone ténor
Batterie
Henri Texier
Pilier du jazz européen dès le début des années 1960, accompagnateur des plus grands jazzmen américains, Henri Texier s'impose comme le plus emblématique des contrebassistes français. Un compositeur prolifique qui garde un oeil vif sur la scène parisienne actuelle.
Henri Texier est tout simplement l'un des plus grands contrebassistes de l'histoire du jazz français. Après des débuts dans l'orchestre de Jeff Gilson et de multiples sessions de sideman auprès des jazzmen américains de passage à Paris (Chet Baker, Bud Powell, Donald Byrd, Johnny Griffin et bien d'autres), Texier s'est intéressé tout au long de sa carrière aux musiques extra-occidentales et aux répertoires folkloriques. Au début des années 2000, c'est aux côtés d'Aldo Romano et Louis Sclavis qu'il parcourt l'Afrique avant d'enregistrer le désormais mythique album Carnet de routes. Aujourd'hui sur le Label Bleu, le jeune septuagénaire joue aux côtés de son fils saxophoniste Sébastien et s'intéresse à la nouvelle génération de musiciens français, comme en témoigne la présence du guitariste Manu Codjia et celle du batteur Gautier Garrigue sur l'album Sand Woman - un récent enregistrement dans lequel Henri Texier réinterprète quelques-unes de ses plus fameuses compositions des années 70 : « Amir », « Quand tout s'arrête » et plus encore « Les Là-Bas ».
= Ils en parlent =
Henri Texier, vivant pilier du jazz hexagonal, contrebassiste tellurique... (M. Contat)
En 1976, Henri Texier enregistre seul, jouant de la contrebasse et de la basse, du oud, des percussions, de la flûte, et chantant plusieurs de ses compositions dont Amir, qui ouvre alors l'album du même nom. Elle devient un classique de Texier. Qui la remet en jeu pour débuter son album Sand Woman, cette fois avec les jeunes musiciens de son quintette, les saxophonistes Sébastien Texier et Vincent Lê Quang, le guitariste Manu Codjia et le batteur Gautier Garrigue. Texier constituant avec ce dernier une rythmique dansante et radieuse. D'autres anciens thèmes (« Les Là-Bas », « Indians »), deux nouvelles compositions (dont « Hungry Man », en forme de blues) sont abordés par de lisibles mélodies, marque de toujours chez Texier. Le sens de l'espace, la profondeur lyrique des thèmes, l'assurance musicienne emportent vers un grand bonheur de jazz. (Sylvain Siclier, Le Monde)
C'est sur scène que la musique d'Henri Texier déploie vraiment toute sa vitalité, ce qu'elle a de massif, de tendu et d'exaltant à la fois. Depuis son fils, Sébastien Texier (alto), jusqu'au guitariste, Manu Codjia, en passant par Vincent Lê Quang (ténor) et Gautier Garrigue (batterie), chaque membre de son quintet est soudé à la contrebasse du maître pour avancer d'un même galop fougueux et libre. (Louis-Julien Nicolaou, Télérama)
...Les réflexions personnelles qui accompagnent le dernier CD du musicien, « Sand Woman » (Label Bleu Amiens/LAutre Distribution), donnent la tonalité de son contenu. Magnifiquement accompagné (Manu Codjia, atmosphérique et coloré à la guitare ; Vincent Lê uang, saxe ténor/soprano; Sébastien Texier, son fil, saxe alto/clarinette; Gautier Garrigue, batterie), le leader, à la sonorité ronde et pleine d'ondulations, sert de catalyseur rythmique pour une musique lyrique et climatique qui ne manque ni de contretemps groovy dansants ni d'un swing décalé sensuel. Avec toujours, en prime, le fascinant côté explorateur. Un vrai régal... (Didier Pennequin, Le Quotidien Du Médecin)
Dès les premières mesures, Henri Texier et tes quatre impeccables instrumentistes qui t'entourent (saxos,batterie, guitare) nous embarquent dans un voyage où la cohésion musicale et l'imagination sont continuellement de mise. Fait d'anciennes compositions entièrement remaniées (Amir), de nouveautés et de parties solos aussi chaleureuses qu'inspirées, ce nouvel album du contrebassiste le plus célèbre du jazz hexagonal impressionne d'un bout à l'autre. Entre swing incessant (ce que Texier nomme « la respiration rythmique »), mélange de maîtrise technique (les interventions du guitariste Manu Codjia) et de moment plus recueillis (Quand tout s'arrête), cet album vibre, vit et atteint souvent ta perfection. (La Vie)
Production : New Morning
Pilier du jazz européen dès le début des années 1960, accompagnateur des plus grands jazzmen américains, Henri Texier s'impose comme le plus emblématique des contrebassistes français. Un compositeur prolifique qui garde un oeil vif sur la scène parisienne actuelle.
Henri Texier est tout simplement l'un des plus grands contrebassistes de l'histoire du jazz français. Après des débuts dans l'orchestre de Jeff Gilson et de multiples sessions de sideman auprès des jazzmen américains de passage à Paris (Chet Baker, Bud Powell, Donald Byrd, Johnny Griffin et bien d'autres), Texier s'est intéressé tout au long de sa carrière aux musiques extra-occidentales et aux répertoires folkloriques. Au début des années 2000, c'est aux côtés d'Aldo Romano et Louis Sclavis qu'il parcourt l'Afrique avant d'enregistrer le désormais mythique album Carnet de routes. Aujourd'hui sur le Label Bleu, le jeune septuagénaire joue aux côtés de son fils saxophoniste Sébastien et s'intéresse à la nouvelle génération de musiciens français, comme en témoigne la présence du guitariste Manu Codjia et celle du batteur Gautier Garrigue sur l'album Sand Woman - un récent enregistrement dans lequel Henri Texier réinterprète quelques-unes de ses plus fameuses compositions des années 70 : « Amir », « Quand tout s'arrête » et plus encore « Les Là-Bas ».
= Ils en parlent =
Henri Texier, vivant pilier du jazz hexagonal, contrebassiste tellurique... (M. Contat)
En 1976, Henri Texier enregistre seul, jouant de la contrebasse et de la basse, du oud, des percussions, de la flûte, et chantant plusieurs de ses compositions dont Amir, qui ouvre alors l'album du même nom. Elle devient un classique de Texier. Qui la remet en jeu pour débuter son album Sand Woman, cette fois avec les jeunes musiciens de son quintette, les saxophonistes Sébastien Texier et Vincent Lê Quang, le guitariste Manu Codjia et le batteur Gautier Garrigue. Texier constituant avec ce dernier une rythmique dansante et radieuse. D'autres anciens thèmes (« Les Là-Bas », « Indians »), deux nouvelles compositions (dont « Hungry Man », en forme de blues) sont abordés par de lisibles mélodies, marque de toujours chez Texier. Le sens de l'espace, la profondeur lyrique des thèmes, l'assurance musicienne emportent vers un grand bonheur de jazz. (Sylvain Siclier, Le Monde)
C'est sur scène que la musique d'Henri Texier déploie vraiment toute sa vitalité, ce qu'elle a de massif, de tendu et d'exaltant à la fois. Depuis son fils, Sébastien Texier (alto), jusqu'au guitariste, Manu Codjia, en passant par Vincent Lê Quang (ténor) et Gautier Garrigue (batterie), chaque membre de son quintet est soudé à la contrebasse du maître pour avancer d'un même galop fougueux et libre. (Louis-Julien Nicolaou, Télérama)
...Les réflexions personnelles qui accompagnent le dernier CD du musicien, « Sand Woman » (Label Bleu Amiens/LAutre Distribution), donnent la tonalité de son contenu. Magnifiquement accompagné (Manu Codjia, atmosphérique et coloré à la guitare ; Vincent Lê uang, saxe ténor/soprano; Sébastien Texier, son fil, saxe alto/clarinette; Gautier Garrigue, batterie), le leader, à la sonorité ronde et pleine d'ondulations, sert de catalyseur rythmique pour une musique lyrique et climatique qui ne manque ni de contretemps groovy dansants ni d'un swing décalé sensuel. Avec toujours, en prime, le fascinant côté explorateur. Un vrai régal... (Didier Pennequin, Le Quotidien Du Médecin)
Dès les premières mesures, Henri Texier et tes quatre impeccables instrumentistes qui t'entourent (saxos,batterie, guitare) nous embarquent dans un voyage où la cohésion musicale et l'imagination sont continuellement de mise. Fait d'anciennes compositions entièrement remaniées (Amir), de nouveautés et de parties solos aussi chaleureuses qu'inspirées, ce nouvel album du contrebassiste le plus célèbre du jazz hexagonal impressionne d'un bout à l'autre. Entre swing incessant (ce que Texier nomme « la respiration rythmique »), mélange de maîtrise technique (les interventions du guitariste Manu Codjia) et de moment plus recueillis (Quand tout s'arrête), cet album vibre, vit et atteint souvent ta perfection. (La Vie)
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