Mercredi 28/07/2021
Contrebasse
Guitare
Clarinette, Saxophone alto
Batterie
Saxophone soprano, Saxophone ténor
Henri Texier
Pilier du jazz européen dès le début des années 1960, accompagnateur des plus grands jazzmen américains, Henri Texier s'impose comme le plus emblématique des contrebassistes français. Un compositeur prolifique qui garde un oeil vif sur la scène parisienne actuelle.
Henri Texier est tout simplement l'un des plus grands contrebassistes de l'histoire du jazz français. Après des débuts dans l'orchestre de Jeff Gilson et de multiples sessions de sideman auprès des jazzmen américains de passage à Paris (Chet Baker, Bud Powell, Donald Byrd, Johnny Griffin et bien d'autres), Texier s'est intéressé tout au long de sa carrière aux musiques extra-occidentales et aux répertoires folkloriques. Au début des années 2000, c'est aux côtés d'Aldo Romano et Louis Sclavis qu'il parcourt l'Afrique avant d'enregistrer le désormais mythique album Carnet de routes. Aujourd'hui sur le Label Bleu, le jeune septuagénaire joue aux côtés de son fils saxophoniste Sébastien et s'intéresse à la nouvelle génération de musiciens français, comme en témoigne la présence du guitariste Manu Codjia et celle du batteur Gautier Garrigue sur l'album Chance- paru début 2020, se dessine comme la suite de Sand Woman, co-écrit avec un line-up 100% français.
Le parcours d'Henri Texier compte parmi les plus emblématiques et les plus riches des musiciens de Jazz. Figure symbole d'une génération décomplexée et avide d'expérimentation, le contrebassiste a été le catalyseur inépuisable d'aventures musicales, occupant un rôle déterminant tant par sa capacité à fédérer les énergies créatives qu'à encourager les musiciens en devenir.
Il est un des rares musiciens français ayant collaboré avec grand nombre d'artistes américains, et non des moindres : Joe Lovano, John Scofield, John Abercrombie, Bill Frisell, Steve Swallow, Kenny Wheeler...
= Ils en parlent =
Homme-orchestre à ses débuts en solo, ce grand jazzman nomade a promené son instrument et son inspiration de Paris à l'Afrique, animant des groupes et entretenant la flamme. Elle brûle encore dans son dernier album, "Chance". Bilan d'un parcours de quarante-cinq ans.
Depuis plus de quatre décennies, Henri Texier bâtit une oeuvre riche et d'une rare cohérence, appuyée sur d'inébranlables convictions poétiques et libertaires.
Au cours des années 2000 et 2010, Texier n'a cessé de peaufiner et d'approfondir sa musique, revenant parfois sur certains titres enregistrés quelques décennies plus tôt et continuant d'inviter de nouveaux compagnons à échanger avec lui, sans négliger ses amitiés de toujours. Si ce nouvel album s'intitule Chance, c'est d'abord pour témoigner d'une reconnaissance : l'exaltation et l'épiphanie sont toujours possibles ; même à 75 ans, le jazz reste une promesse de transports dans des dimensions supérieures. Enregistré avec Sébastien Texier (sax et clarinette), Vincent Lê Quang (sax), Manu Codjia (guitare) et Gautier Garrigue (batterie), l'album, s'il ne comporte que quatre compositions du contrebassiste, possède néanmoins une unité où l'on reconnaît bien son empreinte. Texier rend hommage à Simone Veil, Robert Badinter et Pina Bausch, et s'abandonne une nouvelle fois à de lumineux galops mêlés de pudiques introspections et de fraternelles effervescences. Ce n'est pas une somme, pas forcément un album supérieur à ceux qui l'ont précédé au cours des dix dernières années. Mais il vibre d'une passion qui n'a jamais été routinière et s'avère une superbe porte d'entrée vers une oeuvre en tous points exemplaire." (Louis-Julien Nicolaou , Télérama)
Production : New Morning
Pilier du jazz européen dès le début des années 1960, accompagnateur des plus grands jazzmen américains, Henri Texier s'impose comme le plus emblématique des contrebassistes français. Un compositeur prolifique qui garde un oeil vif sur la scène parisienne actuelle.
Henri Texier est tout simplement l'un des plus grands contrebassistes de l'histoire du jazz français. Après des débuts dans l'orchestre de Jeff Gilson et de multiples sessions de sideman auprès des jazzmen américains de passage à Paris (Chet Baker, Bud Powell, Donald Byrd, Johnny Griffin et bien d'autres), Texier s'est intéressé tout au long de sa carrière aux musiques extra-occidentales et aux répertoires folkloriques. Au début des années 2000, c'est aux côtés d'Aldo Romano et Louis Sclavis qu'il parcourt l'Afrique avant d'enregistrer le désormais mythique album Carnet de routes. Aujourd'hui sur le Label Bleu, le jeune septuagénaire joue aux côtés de son fils saxophoniste Sébastien et s'intéresse à la nouvelle génération de musiciens français, comme en témoigne la présence du guitariste Manu Codjia et celle du batteur Gautier Garrigue sur l'album Chance- paru début 2020, se dessine comme la suite de Sand Woman, co-écrit avec un line-up 100% français.
Le parcours d'Henri Texier compte parmi les plus emblématiques et les plus riches des musiciens de Jazz. Figure symbole d'une génération décomplexée et avide d'expérimentation, le contrebassiste a été le catalyseur inépuisable d'aventures musicales, occupant un rôle déterminant tant par sa capacité à fédérer les énergies créatives qu'à encourager les musiciens en devenir.
Il est un des rares musiciens français ayant collaboré avec grand nombre d'artistes américains, et non des moindres : Joe Lovano, John Scofield, John Abercrombie, Bill Frisell, Steve Swallow, Kenny Wheeler...
= Ils en parlent =
Homme-orchestre à ses débuts en solo, ce grand jazzman nomade a promené son instrument et son inspiration de Paris à l'Afrique, animant des groupes et entretenant la flamme. Elle brûle encore dans son dernier album, "Chance". Bilan d'un parcours de quarante-cinq ans.
Depuis plus de quatre décennies, Henri Texier bâtit une oeuvre riche et d'une rare cohérence, appuyée sur d'inébranlables convictions poétiques et libertaires.
Au cours des années 2000 et 2010, Texier n'a cessé de peaufiner et d'approfondir sa musique, revenant parfois sur certains titres enregistrés quelques décennies plus tôt et continuant d'inviter de nouveaux compagnons à échanger avec lui, sans négliger ses amitiés de toujours. Si ce nouvel album s'intitule Chance, c'est d'abord pour témoigner d'une reconnaissance : l'exaltation et l'épiphanie sont toujours possibles ; même à 75 ans, le jazz reste une promesse de transports dans des dimensions supérieures. Enregistré avec Sébastien Texier (sax et clarinette), Vincent Lê Quang (sax), Manu Codjia (guitare) et Gautier Garrigue (batterie), l'album, s'il ne comporte que quatre compositions du contrebassiste, possède néanmoins une unité où l'on reconnaît bien son empreinte. Texier rend hommage à Simone Veil, Robert Badinter et Pina Bausch, et s'abandonne une nouvelle fois à de lumineux galops mêlés de pudiques introspections et de fraternelles effervescences. Ce n'est pas une somme, pas forcément un album supérieur à ceux qui l'ont précédé au cours des dix dernières années. Mais il vibre d'une passion qui n'a jamais été routinière et s'avère une superbe porte d'entrée vers une oeuvre en tous points exemplaire." (Louis-Julien Nicolaou , Télérama)
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