Samedi 01/04/2023
Santrofi
Beats ravageurs cadences étourdissantes, sonorités caniculaires : Santrofi incarne la musique highlife ghanéenne comme personne. Le collectif se déchaine sur des rythmes traditionnels en y diffusant des notes modernes et groovy. Cors, guitares funky et percussions accompagnent les chanteurs aux déhanchés dingues. Entre pulsations rapides et délicieuse frénésie, on se laisse emporter par ces mélodies qui brouillent les frontières et nous portent au gré des vibes ouest-africaines. On adore.
Santrofi célèbre la musique highlife classique, des premières souches afro-cubaines et calypso, aux grooves funky et aux influences nigérianes et juju.
Santrofi est composé de huit musiciens d'exception imparables sur scène.
Ils possèdent une parfaite maîtrise de toutes les composantes de la musique Highlife du Ghana, et en profitent pour rappeler à la jeune génération qu'elle a été un élément primordial dans la construction de la musique africaine moderne, qui inspira notamment l'Afrobeat du voisin nigérian Fela Kuti.
Mais avec leur énergie créative remarquable, les complices d'Emmanuel Ofori (producteur du groupe et bassiste de Ebo Taylor) y injectent aussi les sons modernes des rues d'Accra, créant une nouvelle vague, enracinée dans le passé, enrichie par la conscience contemporaine, et taillée pour conquérir le futur.
Avant même de sortir leur premier album au printemps 2020, les huit jeunes musiciens de Santrofi avaient déjà mis le feu sur les plus grands festivals européens (WOMEX 2019 en Finlande, WOMAD au Royaume-Uni, Roskilde au Danemark, FFM Sines au Portugal...), forts de prestations survoltées.
= Ils en parlent =
« Héritiers de la musique des pionniers Ebo Taylor, Pat Thomas ou Gyedu Blay Ambolley, huit musiciens d'excellence que s'arrachent les stars de l'afropop tels le roi de l'azonto ghanéen Sarkodie ou le puissant chanteur et producteur nigérian 2face idibia, se sont réunis autour du bassiste et producteur Emmanuel Ofori pour donner un nouveau souffle à cette musique festive et militante » (Guillaume Schnee, FIP)
Production : New Morning
Beats ravageurs cadences étourdissantes, sonorités caniculaires : Santrofi incarne la musique highlife ghanéenne comme personne. Le collectif se déchaine sur des rythmes traditionnels en y diffusant des notes modernes et groovy. Cors, guitares funky et percussions accompagnent les chanteurs aux déhanchés dingues. Entre pulsations rapides et délicieuse frénésie, on se laisse emporter par ces mélodies qui brouillent les frontières et nous portent au gré des vibes ouest-africaines. On adore.
Santrofi célèbre la musique highlife classique, des premières souches afro-cubaines et calypso, aux grooves funky et aux influences nigérianes et juju.
Santrofi est composé de huit musiciens d'exception imparables sur scène.
Ils possèdent une parfaite maîtrise de toutes les composantes de la musique Highlife du Ghana, et en profitent pour rappeler à la jeune génération qu'elle a été un élément primordial dans la construction de la musique africaine moderne, qui inspira notamment l'Afrobeat du voisin nigérian Fela Kuti.
Mais avec leur énergie créative remarquable, les complices d'Emmanuel Ofori (producteur du groupe et bassiste de Ebo Taylor) y injectent aussi les sons modernes des rues d'Accra, créant une nouvelle vague, enracinée dans le passé, enrichie par la conscience contemporaine, et taillée pour conquérir le futur.
Avant même de sortir leur premier album au printemps 2020, les huit jeunes musiciens de Santrofi avaient déjà mis le feu sur les plus grands festivals européens (WOMEX 2019 en Finlande, WOMAD au Royaume-Uni, Roskilde au Danemark, FFM Sines au Portugal...), forts de prestations survoltées.
= Ils en parlent =
« Héritiers de la musique des pionniers Ebo Taylor, Pat Thomas ou Gyedu Blay Ambolley, huit musiciens d'excellence que s'arrachent les stars de l'afropop tels le roi de l'azonto ghanéen Sarkodie ou le puissant chanteur et producteur nigérian 2face idibia, se sont réunis autour du bassiste et producteur Emmanuel Ofori pour donner un nouveau souffle à cette musique festive et militante » (Guillaume Schnee, FIP)