Jeudi 29/06/2023
Third World
Third World est un de ces noms mythiques du reggae jamaïcain. Surnommé « The Reggae Ambassador », Third World est un groupe à part, uni par un véritable esprit de famille et porté par un reggae contemporain et universel.
Les "Ambassadeurs du Reggae" THIRD WORLD célèbrent leurs 47 ans d'existence, constituant l'un des groupes de reggae jamaïcain les plus anciens et populaires de tous les temps. Mêlant sonorités R&B, funk, pop, rock et plus tard dancehall et rap, leur style est décrit sous le terme de "reggae-fusion".
Avec 10 nominations aux Grammy, de nombreux hits parus sur quatre décennies (incluant "Now That We Found Love", "96 Degrees in the Shade" et "Try Jah Love"), des tournées sold-out, une fanbase importante et fidèle et des messages inspirants, l'on pourrait se demander "Où tout ceci a commencé ? Qu'est-ce qui confère à Third World cette longévité rare dans l'industrie musicale ?". Third World est plus qu'un simple groupe de reggae, c'est une institution dont les thèmes sont positifs, progressifs et impactants à l'échelle internationale.
Le groupe a joué pour des milliers de fans sur 6 des 7 continents. Ils ont enregistré avec Bob Marley et ont notamment ouvert pour lui lors de sa première tournée mondiale en 1978. Ils ont également tourné et enregistré avec Stevie Wonder qui a produit deux de leurs albums dans les années 1980. Sans oublier une tournée américaine avec le légendaire guitariste Santana, l'ouverture pour le premier concert des Jackson 5 en Jamaïque ou encore des scènes partagées à travers le monde avec Bono, Sting, Whitney Houston, Wyclef Jean, Lauryn Hill, Jimmy Buffet, Eric Clapton, Marc Anthony et beaucoup d'autres.
= Ils en parlent =
« Figure marquante de la scène jamaïcaine des années 70 et 80, Third World s'est distingué par l'introduction de diverses influences (disco, funk, classique, pop...) dans son reggae. Ce qui lui valut quelques gros tubes internationaux (1865, Try Jah Love, 96° In The Shade...) et de remplir les stades, surtout aux Etats-Unis. Autant dire que les voir dans une petite salle relève presque du privilège. » (Frederic Peguillan, Télérama)
Production : New Morning
Third World est un de ces noms mythiques du reggae jamaïcain. Surnommé « The Reggae Ambassador », Third World est un groupe à part, uni par un véritable esprit de famille et porté par un reggae contemporain et universel.
Les "Ambassadeurs du Reggae" THIRD WORLD célèbrent leurs 47 ans d'existence, constituant l'un des groupes de reggae jamaïcain les plus anciens et populaires de tous les temps. Mêlant sonorités R&B, funk, pop, rock et plus tard dancehall et rap, leur style est décrit sous le terme de "reggae-fusion".
Avec 10 nominations aux Grammy, de nombreux hits parus sur quatre décennies (incluant "Now That We Found Love", "96 Degrees in the Shade" et "Try Jah Love"), des tournées sold-out, une fanbase importante et fidèle et des messages inspirants, l'on pourrait se demander "Où tout ceci a commencé ? Qu'est-ce qui confère à Third World cette longévité rare dans l'industrie musicale ?". Third World est plus qu'un simple groupe de reggae, c'est une institution dont les thèmes sont positifs, progressifs et impactants à l'échelle internationale.
Le groupe a joué pour des milliers de fans sur 6 des 7 continents. Ils ont enregistré avec Bob Marley et ont notamment ouvert pour lui lors de sa première tournée mondiale en 1978. Ils ont également tourné et enregistré avec Stevie Wonder qui a produit deux de leurs albums dans les années 1980. Sans oublier une tournée américaine avec le légendaire guitariste Santana, l'ouverture pour le premier concert des Jackson 5 en Jamaïque ou encore des scènes partagées à travers le monde avec Bono, Sting, Whitney Houston, Wyclef Jean, Lauryn Hill, Jimmy Buffet, Eric Clapton, Marc Anthony et beaucoup d'autres.
= Ils en parlent =
« Figure marquante de la scène jamaïcaine des années 70 et 80, Third World s'est distingué par l'introduction de diverses influences (disco, funk, classique, pop...) dans son reggae. Ce qui lui valut quelques gros tubes internationaux (1865, Try Jah Love, 96° In The Shade...) et de remplir les stades, surtout aux Etats-Unis. Autant dire que les voir dans une petite salle relève presque du privilège. » (Frederic Peguillan, Télérama)