Jeudi 20/07/2023

Festival « All Stars »
Jeu 20 Juil 2023 : Paulito FG Y Su Elite

Paulito FG Y Su Elite

Warmup DJ set : Jack Elcalvo
Cuba

Plus de 18 ans après son premier et unique passage au New Morning, PAULITO FG, l'un des chanteurs-compositeurs cubain les plus populaires de salsa et de timba, revient enfin avec su Elite au complet ! L'occasion de célébrer 30 ans de carrière depuis la parution de son 1er album "Tú no me calculas", accompagné de ses 12 musiciens.

Paulito FG (alias Paulo FG) (né Pablo Alfonso Fernández Gallo à Cuba) est un artiste populaire de salsa et de timba, né le 11 janvier 1962 dans le quartier Buena Vista de la Havane. Paulo ou Paulito a des origines italiennes par son grand-père. Sa mère, Caridad Gallo, joue un rôle important, elle-même pianiste et poète. Elle lui demandait régulièrement de chanter pendant qu'elle jouait au piano, lui apprenant ainsi les lignes vocales et les harmonies.
Mais la carrière de Paulito commence réellement quand le légendaire Adalberto Álvarez le découvre et l'engage dans son orchestre Mais sa carrière commence réellement quand le légendaire Adalberto Álvarez le découvre et l'engage dans son orchestre, Opus 13, dirigé par les arrangeurs Joaquín Betancourt et Juan Manuel Ceruto. Paulito prend ensuite la direction d'Opus 13 au début des années 1990.

En 1992, il fonde son propre groupe, La Elite. Tú no me calculas sort en 1993, le groupe assure la promotion de sa sortie à La Havane et à Tokyo. En 1994 il signe sur le label Magic Music (Barcelone) et sort l'album "Sofocándote", qui reste classé pendant 22 semaines dans le Hit Parade de Radio nacional (Cuba). L'album figure le batteur Yoel Páez, l'un des meilleurs de Cuba. En 1996, sort l'album "El bueno soy yo" qui reçoit le prix Egrem du meilleur album de la catégorie "Música Bailable". L'album figure Sergio Noroña (piano), Yosvel Bernal (synthétiseur), Joel Domínguez (basse), Tomás Cruz (congas) et Yoel Páez (batterie). En 1997 sort l'album "Con la conciencia tranquila" sur le prestigieux label Fania , dont plusieurs morceaux seront classés dans le hit-parade cubain.

En 1998, il enregistre un hommage au chanteur portoricain Tito Rodríguez ("Tributo a Tito Rodríguez") En 2000 sort l'album "Una vez más por amor". L'album marque la fin de sa collaboration avec Juan Ceruto : la moitié des chansons ont été arrangées par Ceruto et l'autre moitié sans lui après son départ. L'album figure Mauricio Herrera (batterie), Jorge "El Toro" Castillo (congas), Cristóbal Verdecia (basse) et Rolando Luna (piano). En 2002 sort l'album "Te deseo suerte", classé lui aussi dans le Hit Parade cubain En 2005 sort l'album "Ilusión" sur le label BisMusic, un album de classiques du boléro, avec comme directeurs musicaux Fernando Soria et Ángel Martínez, arrangé par Fernando Soria y Paulito FG, prix du meilleur album au FESTIVAL CUBADISCO 2006 dans la catégorie "Cancionística".

En 2006 sort l'album "Un poquito de to´" (BisMusic), fusion de son, rock, rumba, jazz, rap, reggaetón. En 2010 sort Sin etiqueta, album de timba essentiellement Son conguero Tomás Cruz s'est montré très inventif : Beaucoup de ses tumbaos s'étendent sur deux ou même quatre claves dans la durée, quelque chose de très rarement fait précédemment. Il a apporté des innovations au rythme songo créé par Changuito et Raúl "el Yulo" Cárdenas de Los Van Van. Il a inventé plusieurs rythmes : pour la chanson de Paulito "Llamada anónima", il joue un motif sur trois congas adapté du rythme folklorique afro-cubain makuta, d'origine congolaise. Paulito a déclaré que pendant la crise économique cubaine du milieu des années 1990, connue sous le nom de période spéciale , la musique timba offrait l'occasion «d'oublier les pénuries, l'électricité coupée, le mauvais transport, de trouver refuge». Au fil du temps, les musiciens de timba ont cherché à obtenir une partie de la richesse qu'ils gagnaient pour les institutions de l'Etat. Ils ont commencé à s'habiller dans un style hip-hop plus "bling-bling", imitant les aspirations économiques de nombreux Cubains en difficulté. Cela a conduit l'Etat à retirer son soutien et à devenir hostile au mouvement timba. Lors d'une interview en 2013, Paulito déclarait : « Il fut un temps pendant la période spéciale où nous [los timberos] étions une aide économique importante pour la Révolution, mais plus tard cela changea - précisément à cause de la grande demande que nous avions créée - cela devint quelque chose qui était désapprouvé dans une telle société ».

Production : New Morning

Plus de 18 ans après son premier et unique passage au New Morning, PAULITO FG, l'un des chanteurs-compositeurs cubain les plus populaires de salsa et de timba, revient enfin avec su Elite au complet ! L'occasion de célébrer 30 ans de carrière depuis la parution de son 1er album "Tú no me calculas", accompagné de ses 12 musiciens.

Paulito FG (alias Paulo FG) (né Pablo Alfonso Fernández Gallo à Cuba) est un artiste populaire de salsa et de timba, né le 11 janvier 1962 dans le quartier Buena Vista de la Havane. Paulo ou Paulito a des origines italiennes par son grand-père. Sa mère, Caridad Gallo, joue un rôle important, elle-même pianiste et poète. Elle lui demandait régulièrement de chanter pendant qu'elle jouait au piano, lui apprenant ainsi les lignes vocales et les harmonies.
Mais la carrière de Paulito commence réellement quand le légendaire Adalberto Álvarez le découvre et l'engage dans son orchestre Mais sa carrière commence réellement quand le légendaire Adalberto Álvarez le découvre et l'engage dans son orchestre, Opus 13, dirigé par les arrangeurs Joaquín Betancourt et Juan Manuel Ceruto. Paulito prend ensuite la direction d'Opus 13 au début des années 1990.

En 1992, il fonde son propre groupe, La Elite. Tú no me calculas sort en 1993, le groupe assure la promotion de sa sortie à La Havane et à Tokyo. En 1994 il signe sur le label Magic Music (Barcelone) et sort l'album "Sofocándote", qui reste classé pendant 22 semaines dans le Hit Parade de Radio nacional (Cuba). L'album figure le batteur Yoel Páez, l'un des meilleurs de Cuba. En 1996, sort l'album "El bueno soy yo" qui reçoit le prix Egrem du meilleur album de la catégorie "Música Bailable". L'album figure Sergio Noroña (piano), Yosvel Bernal (synthétiseur), Joel Domínguez (basse), Tomás Cruz (congas) et Yoel Páez (batterie). En 1997 sort l'album "Con la conciencia tranquila" sur le prestigieux label Fania , dont plusieurs morceaux seront classés dans le hit-parade cubain.

En 1998, il enregistre un hommage au chanteur portoricain Tito Rodríguez ("Tributo a Tito Rodríguez") En 2000 sort l'album "Una vez más por amor". L'album marque la fin de sa collaboration avec Juan Ceruto : la moitié des chansons ont été arrangées par Ceruto et l'autre moitié sans lui après son départ. L'album figure Mauricio Herrera (batterie), Jorge "El Toro" Castillo (congas), Cristóbal Verdecia (basse) et Rolando Luna (piano). En 2002 sort l'album "Te deseo suerte", classé lui aussi dans le Hit Parade cubain En 2005 sort l'album "Ilusión" sur le label BisMusic, un album de classiques du boléro, avec comme directeurs musicaux Fernando Soria et Ángel Martínez, arrangé par Fernando Soria y Paulito FG, prix du meilleur album au FESTIVAL CUBADISCO 2006 dans la catégorie "Cancionística".

En 2006 sort l'album "Un poquito de to´" (BisMusic), fusion de son, rock, rumba, jazz, rap, reggaetón. En 2010 sort Sin etiqueta, album de timba essentiellement Son conguero Tomás Cruz s'est montré très inventif : Beaucoup de ses tumbaos s'étendent sur deux ou même quatre claves dans la durée, quelque chose de très rarement fait précédemment. Il a apporté des innovations au rythme songo créé par Changuito et Raúl "el Yulo" Cárdenas de Los Van Van. Il a inventé plusieurs rythmes : pour la chanson de Paulito "Llamada anónima", il joue un motif sur trois congas adapté du rythme folklorique afro-cubain makuta, d'origine congolaise. Paulito a déclaré que pendant la crise économique cubaine du milieu des années 1990, connue sous le nom de période spéciale , la musique timba offrait l'occasion «d'oublier les pénuries, l'électricité coupée, le mauvais transport, de trouver refuge». Au fil du temps, les musiciens de timba ont cherché à obtenir une partie de la richesse qu'ils gagnaient pour les institutions de l'Etat. Ils ont commencé à s'habiller dans un style hip-hop plus "bling-bling", imitant les aspirations économiques de nombreux Cubains en difficulté. Cela a conduit l'Etat à retirer son soutien et à devenir hostile au mouvement timba. Lors d'une interview en 2013, Paulito déclarait : « Il fut un temps pendant la période spéciale où nous [los timberos] étions une aide économique importante pour la Révolution, mais plus tard cela changea - précisément à cause de la grande demande que nous avions créée - cela devint quelque chose qui était désapprouvé dans une telle société ».




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