Jeudi 23/11/2023
Flute, Saxophone soprano, Saxophone ténor
Bugle, Trompette
Claviers
Claviers, Fender Rhodes
Contrebasse
Batterie
Belmondo DeadJazz
Moins relecture que résurrection, « Deadjazz » est le nouveau projet collectif des frères Belmondo consacré à la musique du Grateful Dead.
C'était l'époque où Miles Davis lorgnait du côté de Jimi Hendrix et de Sly Stone, sous l'influence d'une certaine Betty Mabry aka Betty Davis. L'époque où les ultimes échos cosmiques lancés par John Coltrane se dissipaient dans les volutes des ragas, Illuminations que sa femme Alice continuerait d'explorer notamment auprès de Carlos Santana. L'époque où Wayne Shorter s'évadait vers les jungles pluvieuses du « Moto Grosso Feio ». Où Herbie Hancock, converti au bouddhisme, surfait sous le nom de Mwandishi très haut dans des nuées de synthés. Où Freddie Hubbard pétrissait Red Clay avec un hédonisme funky et langoureux. Où Horace Silver cherchait la Total Response et les United States of Mind dans la vibration d'un piano désormais électrifié.
Cet âge où le jazz s'électrisait, s'ouvrait aux sonorités du monde, à l'énergie du rock, se dilatait au fil de grooves obsédants ou de longues échappées planantes, se chargeait de spiritualité et d'oecuménisme fraternel à mesure que le monde semblait glisser vers l'abîme, est aussi le grand âge du Grateful Dead.
De scintillements cosmiques en grooves funky, de balades aux airs d'hymne en déflagrations sonores, « Deadjazz » s'offre comme une série de stations sur le chemin illuminé du groupe culte de San Francisco...
Avec Lionel et Stéphane Belmondo, Eric Legnini, Laurent Fickelson, Thomas Bramerie et Dré Pallemaerts : un casting de fous pour une musique de feu !
Production : New Morning
Moins relecture que résurrection, « Deadjazz » est le nouveau projet collectif des frères Belmondo consacré à la musique du Grateful Dead.
C'était l'époque où Miles Davis lorgnait du côté de Jimi Hendrix et de Sly Stone, sous l'influence d'une certaine Betty Mabry aka Betty Davis. L'époque où les ultimes échos cosmiques lancés par John Coltrane se dissipaient dans les volutes des ragas, Illuminations que sa femme Alice continuerait d'explorer notamment auprès de Carlos Santana. L'époque où Wayne Shorter s'évadait vers les jungles pluvieuses du « Moto Grosso Feio ». Où Herbie Hancock, converti au bouddhisme, surfait sous le nom de Mwandishi très haut dans des nuées de synthés. Où Freddie Hubbard pétrissait Red Clay avec un hédonisme funky et langoureux. Où Horace Silver cherchait la Total Response et les United States of Mind dans la vibration d'un piano désormais électrifié.
Cet âge où le jazz s'électrisait, s'ouvrait aux sonorités du monde, à l'énergie du rock, se dilatait au fil de grooves obsédants ou de longues échappées planantes, se chargeait de spiritualité et d'oecuménisme fraternel à mesure que le monde semblait glisser vers l'abîme, est aussi le grand âge du Grateful Dead.
De scintillements cosmiques en grooves funky, de balades aux airs d'hymne en déflagrations sonores, « Deadjazz » s'offre comme une série de stations sur le chemin illuminé du groupe culte de San Francisco...
Avec Lionel et Stéphane Belmondo, Eric Legnini, Laurent Fickelson, Thomas Bramerie et Dré Pallemaerts : un casting de fous pour une musique de feu !
Flute, Saxophone soprano, Saxophone ténor
Bugle, Trompette
Claviers
Claviers, Fender Rhodes
Contrebasse
Batterie