Mercredi 16/10/2013
Kora
Batterie
Flute
Contrebasse
Sabar
Claviers
Ablaye Cissoko & Simon Goubert
Soirée exceptionnelle avec le projet « AFRICAN JAZZ ROOTS » d'ABLAYE CISSOKO et SIMON GOUBERT, première fusion réussie du jazz occidental et de la musique traditionnelle sénégalaise.
Malgré des liens évidents entre ces deux répertoires, très peu de projets réunissant jazzmen occidentaux et musiciens traditionnels africains réussissent la fusion de ces musiques. « AFRICAN JAZZ ROOTS » en fait partie !
La musique composée par le célèbre batteur SIMON GOUBERT, et illuminée par la Kora d'ABLAYE CISSOKO, est à la fois un hommage au jazz de John Coltrane et au Sabar traditionnel Sénégalais. Une musique qui met en valeur les fondements musicaux communs aux deux langages.
En ces temps où le métissage et la rencontre sont les préoccupations principales de beaucoup d'artistes, Simon Goubert et Ablaye Cissoko ont réussi à retrouver les contrées musicales où leur deux univers se mélangent et se superposent naturellement.
C'est en 2009 que Simon Goubert a joué au Sénégal pour la première fois - plus exactement au mois de mai, au Festival de Jazz de Saint-Louis -, et fait la connaissance du grand koriste Ablaye Cissoko. La cérémonie d'ouverture débutait par le concert des tambours de Saint-Louis, dirigés par le Tambour Major des arènes de Dakar : Babou Ngom. Cette région de l'Afrique étant le berceau des musiques dont est issu le Jazz, et notamment un de ses courants dont S.Goubert est l'un des interprètes les plus ardents, c'est dans le partage d'une grande émotion que s'est déroulé le concert du quartet qu'il dirigeait cette année-là, ainsi que les master-classes qu'il animait et les jam-sessions auxquelles il participait.
Rendez-vous fut donc pris sur le champ pour l'édition suivante avec le directeur du festival, monsieur Assan Fall, mais - décida-t-il - en compagnie d'un orchestre mélangeant musiciens de Jazz, Ablaye Cissoko et Babou Ngom. Durant le début de l'année 2010, le projet s'est échafaudé grâce à une étroite collaboration entre Cissoko et Goubert. Il fut décidé que batterie et contrebasse de Jazz (Goubert et Daryll Hall) seraient mélangées à la kora de A.Cissoko, à la flûte Peule de Ousman Bâ, et aux sabars (tambours traditionnels sénégalais) de Babou.Ngom et de deux de ses fils.
L'originalité de la musique que composerait Simon Goubert ne viendrait pas d'une translation du vocabulaire des jazzmen vers la musique traditionnelle sénégalaise ni du contraire ; il devrait mettre en valeur les fondements musicaux communs aux deux langages (grande rigueur rythmique combinée à l'élasticité du tempo, couleurs obsessionnelles tendant vers une certaine forme de transe que l'on retrouve dans le Jazz modal coltranien par exemple, ou dans certaines formes assimilées au Free Jazz, etc...).
Le premier concert de l'African Jazz Roots dirigé par Simon Goubert et Ablaye Cissoko a donc eu lieu après cinq jours de répétition le 22 mai 2010, au Festival de Jazz de Saint-Louis du Sénégal. La rencontre fut riche en événements et le public nombreux fit un triomphe à ce nouveau groupe.
Fin 2010, le directeur de l'Alliance Française de Dakar, Alban Corbier-Labasse, prit l'initiative de contacter les deux leaders du groupe afin d'enregistrer le répertoire qui l'avait enthousiasmé à Saint-Louis, et d'organiser un concert à Dakar puis une tournée africaine.
C'est donc cet enregistrement qui a eu lieu en avril 2011, suivi d'un concert au Théâtre de Verdure de Dakar. À l'occasion de la vingtième édition du festival Saint-Louis Jazz, occasion, Simon Goubert a demandé à deux de ses compagnons de musique les plus proches de venir se joindre eux, le contrebassiste Jean-Philippe Viret, et la pianiste Sophia Domancich.
Soirée exceptionnelle avec le projet « AFRICAN JAZZ ROOTS » d'ABLAYE CISSOKO et SIMON GOUBERT, première fusion réussie du jazz occidental et de la musique traditionnelle sénégalaise.
Malgré des liens évidents entre ces deux répertoires, très peu de projets réunissant jazzmen occidentaux et musiciens traditionnels africains réussissent la fusion de ces musiques. « AFRICAN JAZZ ROOTS » en fait partie !
La musique composée par le célèbre batteur SIMON GOUBERT, et illuminée par la Kora d'ABLAYE CISSOKO, est à la fois un hommage au jazz de John Coltrane et au Sabar traditionnel Sénégalais. Une musique qui met en valeur les fondements musicaux communs aux deux langages.
En ces temps où le métissage et la rencontre sont les préoccupations principales de beaucoup d'artistes, Simon Goubert et Ablaye Cissoko ont réussi à retrouver les contrées musicales où leur deux univers se mélangent et se superposent naturellement.
C'est en 2009 que Simon Goubert a joué au Sénégal pour la première fois - plus exactement au mois de mai, au Festival de Jazz de Saint-Louis -, et fait la connaissance du grand koriste Ablaye Cissoko. La cérémonie d'ouverture débutait par le concert des tambours de Saint-Louis, dirigés par le Tambour Major des arènes de Dakar : Babou Ngom. Cette région de l'Afrique étant le berceau des musiques dont est issu le Jazz, et notamment un de ses courants dont S.Goubert est l'un des interprètes les plus ardents, c'est dans le partage d'une grande émotion que s'est déroulé le concert du quartet qu'il dirigeait cette année-là, ainsi que les master-classes qu'il animait et les jam-sessions auxquelles il participait.
Rendez-vous fut donc pris sur le champ pour l'édition suivante avec le directeur du festival, monsieur Assan Fall, mais - décida-t-il - en compagnie d'un orchestre mélangeant musiciens de Jazz, Ablaye Cissoko et Babou Ngom. Durant le début de l'année 2010, le projet s'est échafaudé grâce à une étroite collaboration entre Cissoko et Goubert. Il fut décidé que batterie et contrebasse de Jazz (Goubert et Daryll Hall) seraient mélangées à la kora de A.Cissoko, à la flûte Peule de Ousman Bâ, et aux sabars (tambours traditionnels sénégalais) de Babou.Ngom et de deux de ses fils.
L'originalité de la musique que composerait Simon Goubert ne viendrait pas d'une translation du vocabulaire des jazzmen vers la musique traditionnelle sénégalaise ni du contraire ; il devrait mettre en valeur les fondements musicaux communs aux deux langages (grande rigueur rythmique combinée à l'élasticité du tempo, couleurs obsessionnelles tendant vers une certaine forme de transe que l'on retrouve dans le Jazz modal coltranien par exemple, ou dans certaines formes assimilées au Free Jazz, etc...).
Le premier concert de l'African Jazz Roots dirigé par Simon Goubert et Ablaye Cissoko a donc eu lieu après cinq jours de répétition le 22 mai 2010, au Festival de Jazz de Saint-Louis du Sénégal. La rencontre fut riche en événements et le public nombreux fit un triomphe à ce nouveau groupe.
Fin 2010, le directeur de l'Alliance Française de Dakar, Alban Corbier-Labasse, prit l'initiative de contacter les deux leaders du groupe afin d'enregistrer le répertoire qui l'avait enthousiasmé à Saint-Louis, et d'organiser un concert à Dakar puis une tournée africaine.
C'est donc cet enregistrement qui a eu lieu en avril 2011, suivi d'un concert au Théâtre de Verdure de Dakar. À l'occasion de la vingtième édition du festival Saint-Louis Jazz, occasion, Simon Goubert a demandé à deux de ses compagnons de musique les plus proches de venir se joindre eux, le contrebassiste Jean-Philippe Viret, et la pianiste Sophia Domancich.
Kora
Batterie
Flute
Contrebasse
Sabar
Claviers
Première partie
Batterie, Ka, Sampler, Voix
Ka, Voix
Basse, Voix
Piano
Sonny Troupe Quartet
C'est en Guadeloupe sous l'influence de son père saxophoniste, Georges Troupé que Sonny Troupé apprend le gwo ka*, commence le solfège, et découvre divers styles musicaux. Il choisira d'approfondir deux instruments : la batterie et le tambour ka. Sa soif d'apprendre l'amène à jouer dans des formations variées allant du jazz au reggae en passant par l'électro. Depuis plus d'une dizaine d'années, il se retrouve aux côtés de musiciens tels que Christian Laviso, Kenny Garrett, Grégory Privat, Alain Jean Marie, Jacques Schwarz Bart, Tanya Saint Val,...
C'est en Guadeloupe sous l'influence de son père saxophoniste, Georges Troupé que Sonny Troupé apprend le gwo ka*, commence le solfège, et découvre divers styles musicaux. Il choisira d'approfondir deux instruments : la batterie et le tambour ka. Sa soif d'apprendre l'amène à jouer dans des formations variées allant du jazz au reggae en passant par l'électro. Depuis plus d'une dizaine d'années, il se retrouve aux côtés de musiciens tels que Christian Laviso, Kenny Garrett, Grégory Privat, Alain Jean Marie, Jacques Schwarz Bart, Tanya Saint Val,...
Batterie, Ka, Sampler, Voix
Ka, Voix
Basse, Voix
Piano
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