Samedi 25/11/2017
Elida Almeida
S'il existe un « berceau d'or », il ne lui fut pas donné à la naissance : Elida Almeida le tisse avec une gracieuse obstination.
Prix Découvertes RFI en 2015, la jeune femme native de l'île de Santiago, a travaillé sa technique vocale dans la simplicité des chants d'église.
Elle a affiné sa culture musicale en proposant un programme sur la radio locale de Maio, où elle a grandi après la mort de son père, soutenant sa mère, marchande ambulante. Tenace, partisane farouche du droit à l'éducation, Elida a quitté le monde rural pour composer des chansons amoureuses et concernées.
Après « Ora doci Ora margos , Moment Doux, Moments Amers », son premier album paru en 2015, Elida Almeida propose « Djunta Kudjer », un EP 6 titres en créole cap-verdien, dont Di Mi Ku Di Bo, enregistré à La Havane et paru en début d'année. A 24 ans, pour sculpter en toute liberté « Bersu d'Oru », Elida Almeida s'est servi d'un rythme moins connu hors de l'archipel, la tabanka, utilisée pendant les fêtes de mai et juin dans l'île de Santiago, devenue le symbole de la lutte pour l'indépendance du pays et marquant aujourd'hui l'affirmation joyeuse et colorée d'une identité africaine.
Production : New Morning
S'il existe un « berceau d'or », il ne lui fut pas donné à la naissance : Elida Almeida le tisse avec une gracieuse obstination.
Prix Découvertes RFI en 2015, la jeune femme native de l'île de Santiago, a travaillé sa technique vocale dans la simplicité des chants d'église.
Elle a affiné sa culture musicale en proposant un programme sur la radio locale de Maio, où elle a grandi après la mort de son père, soutenant sa mère, marchande ambulante. Tenace, partisane farouche du droit à l'éducation, Elida a quitté le monde rural pour composer des chansons amoureuses et concernées.
Après « Ora doci Ora margos , Moment Doux, Moments Amers », son premier album paru en 2015, Elida Almeida propose « Djunta Kudjer », un EP 6 titres en créole cap-verdien, dont Di Mi Ku Di Bo, enregistré à La Havane et paru en début d'année. A 24 ans, pour sculpter en toute liberté « Bersu d'Oru », Elida Almeida s'est servi d'un rythme moins connu hors de l'archipel, la tabanka, utilisée pendant les fêtes de mai et juin dans l'île de Santiago, devenue le symbole de la lutte pour l'indépendance du pays et marquant aujourd'hui l'affirmation joyeuse et colorée d'une identité africaine.
Voix
Valérie Louri
En véritable ambassadrice de la culture martiniquaise, Valérie Louri sillonne le monde, ouvre son horizon pour accoster avec audace de nouveaux territoires musicaux.
Elle débute sa carrière artistique en tant que danseuse. Après deux ans de formation à New-York dans les écoles Alvin Ailey School et Broadway Dance Center, elle revient dans son île natale et étudie la musique à l'Institut de Formation aux Arts du Spectacle, dont elle sort « Major de promotion ».
« Bay lanmen » composé par Marc ELMIRA, est « Révélation et succès de l'année 2006 du Prix Sacem ». Suivent « Fanm lanmou » avec le guitariste sud-africain Mduduzi Madela et le martiniquais Valéry Denise, puis « Edith Lefel Tribute », sorti en 2013, salués par les médias. Dorénavant, Valérie Louri conjugue sa carrière au pluriel ; Danseuse et chanteuse émérite, elle fait partie de la troupe du « Roi Lion » à Paris et à Hambourg, une comédie musicale dans laquelle elle interprète pratiquement tous les rôles féminins dont le premier rôle « Nala ». Accompagnée de son équipe de musiciennes talentueuses, les « Misses Frau », Valérie Louri partage son « Bruit des Vagues » avec passion.
« Le Bruit des Vagues », sorti en octobre 2016, séduit. Chaque titre propose une couleur musicale affirmée, telle une vague en amenant une autre, pour une immersion rafraîchissante.
Production : New Morning
En véritable ambassadrice de la culture martiniquaise, Valérie Louri sillonne le monde, ouvre son horizon pour accoster avec audace de nouveaux territoires musicaux.
Elle débute sa carrière artistique en tant que danseuse. Après deux ans de formation à New-York dans les écoles Alvin Ailey School et Broadway Dance Center, elle revient dans son île natale et étudie la musique à l'Institut de Formation aux Arts du Spectacle, dont elle sort « Major de promotion ».
« Bay lanmen » composé par Marc ELMIRA, est « Révélation et succès de l'année 2006 du Prix Sacem ». Suivent « Fanm lanmou » avec le guitariste sud-africain Mduduzi Madela et le martiniquais Valéry Denise, puis « Edith Lefel Tribute », sorti en 2013, salués par les médias. Dorénavant, Valérie Louri conjugue sa carrière au pluriel ; Danseuse et chanteuse émérite, elle fait partie de la troupe du « Roi Lion » à Paris et à Hambourg, une comédie musicale dans laquelle elle interprète pratiquement tous les rôles féminins dont le premier rôle « Nala ». Accompagnée de son équipe de musiciennes talentueuses, les « Misses Frau », Valérie Louri partage son « Bruit des Vagues » avec passion.
« Le Bruit des Vagues », sorti en octobre 2016, séduit. Chaque titre propose une couleur musicale affirmée, telle une vague en amenant une autre, pour une immersion rafraîchissante.
Voix