Mercredi 11/10/2017
Alejandra Ribera
Depuis la sortie de son premier album « La Boca » en 2014, Alejandra Ribera a continué de composer et d'écrire à propos des sources inattendues où se trouve la lumière.
Sur son nouvel album « This Island », disponible le 22 septembre, elle continue son exploration de la luminosité, en quittant cette fois-ci les profondeurs des eaux mythologiques pour creuser les profondeurs du coeur humain.
Elle cite diverses influences qui ont inspiré son approche : un discours de l'actrice Tilda Swinton à la chapelle Rothko ; un documentaire sur l'artiste Marina Abramovic ainsi que l'étude du mouvement avec une adepte de Pina Bausch. « Il existe un potentiel infini dans cet instant entre la suspension et la libération. Je voulais poser un microscope sonore sur cet instant, et inviter l'auditeur à entrer dans l'espace intime habituellement réservé aux créateurs de musique » raconte Alejandra Ribera.
Avec ses arrangements délicats et spacieux, et ses mélodies raffinées, « This Island », enregistré dans un studio en pleine campagne ontarienne, n'est pas sans rappeler les débuts de Damien Rice alors que l'influence de ses contemporains, comme Rufus Wainwright et Fiona Apple, se fait subtilement sentir.
Alejandra Ribera offre avec « This Island » un album unique, où son écriture est la plus accessible et la plus optimiste à ce jour. « Après ma première année en France, je me suis retrouvée à écrire des petits hymnes de gratitude et à entendre intérieurement des refrains. J'imagine que c'était une façon inconsciente de me remonter le moral quand j'avais le mal du pays. Quand est venu le temps d'enregistrer ces chansons, je voulais avoir le plus de plaisir possible à le faire. C'est pour cette raison que j'ai demandé à Bryden Baird (Feist) d'écrire les arrangements de cuivres ; il a cette touche magique qui vous force à sourire. » Au final, des pièces comme « Carry Me », « Will Not Drown » et « Led Me To You » sont les meilleurs exemples de cette nouvelle légèreté assumée.
En confiant le mix à Trina Shoemaker (Sheryl Crow) et grâce à l'apport de l'ingénieur L. Stu Young (Prince), Alejandra - qui a réalisé l'album - a réussi à donner à This Island une sonorité intemporelle et classique. « Je voulais faire un album simple au son classique, loin des tendances de production actuelles. Je savais qu'il fallait du courage pour réduire tout ça à l'essentiel, donc j'avais besoin d'une équipe bien particulière qui pouvait me guider tout au long du projet. »
Aussi subtils que stimulants, tous ces éléments ont été assemblés avec l'aide de ses musiciens et collaborateurs montréalais de longue date, Jean-Sébastien Williams et Cédric Dind-Lavoie. Alejandra Ribera a créé This Island une expérience sonore qu'elle nous invite à explorer pour y rêver et célébrer la lumière qu'elle recherche partout où elle va.
= Ils en parlent =
Alejandra Ribera est l'incarnation même de l'artiste multiculturelle, qui livre une performance aux influences jazz, pop ou encore folk. (Le Parisien)
D'abord il y a la voix. Epoustouflante, suave, énorme, un organe capable sur scène, de grimper en un petit temps du très grave au très aigu. Puis sa présence : grande fille à la beauté singulière. (Le Parisien)
Une voix de rêveuse suprême, lovée dans des chansons vaporeuses et délicatement arrangées, faites pour voler. (Telerama)
Alejandra Ribera, bioluminescente? - Artiste trentenaire, planétaire, voyageuse, elle envisage la chanson comme un remède à la mélancolie, le reflet de son expressivité, comme d'autres choisissent la peinture ou la poésie. (La Croix)
Depuis la sortie de son premier album « La Boca » en 2014, Alejandra Ribera a continué de composer et d'écrire à propos des sources inattendues où se trouve la lumière.
Sur son nouvel album « This Island », disponible le 22 septembre, elle continue son exploration de la luminosité, en quittant cette fois-ci les profondeurs des eaux mythologiques pour creuser les profondeurs du coeur humain.
Elle cite diverses influences qui ont inspiré son approche : un discours de l'actrice Tilda Swinton à la chapelle Rothko ; un documentaire sur l'artiste Marina Abramovic ainsi que l'étude du mouvement avec une adepte de Pina Bausch. « Il existe un potentiel infini dans cet instant entre la suspension et la libération. Je voulais poser un microscope sonore sur cet instant, et inviter l'auditeur à entrer dans l'espace intime habituellement réservé aux créateurs de musique » raconte Alejandra Ribera.
Avec ses arrangements délicats et spacieux, et ses mélodies raffinées, « This Island », enregistré dans un studio en pleine campagne ontarienne, n'est pas sans rappeler les débuts de Damien Rice alors que l'influence de ses contemporains, comme Rufus Wainwright et Fiona Apple, se fait subtilement sentir.
Alejandra Ribera offre avec « This Island » un album unique, où son écriture est la plus accessible et la plus optimiste à ce jour. « Après ma première année en France, je me suis retrouvée à écrire des petits hymnes de gratitude et à entendre intérieurement des refrains. J'imagine que c'était une façon inconsciente de me remonter le moral quand j'avais le mal du pays. Quand est venu le temps d'enregistrer ces chansons, je voulais avoir le plus de plaisir possible à le faire. C'est pour cette raison que j'ai demandé à Bryden Baird (Feist) d'écrire les arrangements de cuivres ; il a cette touche magique qui vous force à sourire. » Au final, des pièces comme « Carry Me », « Will Not Drown » et « Led Me To You » sont les meilleurs exemples de cette nouvelle légèreté assumée.
En confiant le mix à Trina Shoemaker (Sheryl Crow) et grâce à l'apport de l'ingénieur L. Stu Young (Prince), Alejandra - qui a réalisé l'album - a réussi à donner à This Island une sonorité intemporelle et classique. « Je voulais faire un album simple au son classique, loin des tendances de production actuelles. Je savais qu'il fallait du courage pour réduire tout ça à l'essentiel, donc j'avais besoin d'une équipe bien particulière qui pouvait me guider tout au long du projet. »
Aussi subtils que stimulants, tous ces éléments ont été assemblés avec l'aide de ses musiciens et collaborateurs montréalais de longue date, Jean-Sébastien Williams et Cédric Dind-Lavoie. Alejandra Ribera a créé This Island une expérience sonore qu'elle nous invite à explorer pour y rêver et célébrer la lumière qu'elle recherche partout où elle va.
= Ils en parlent =
Alejandra Ribera est l'incarnation même de l'artiste multiculturelle, qui livre une performance aux influences jazz, pop ou encore folk. (Le Parisien)
D'abord il y a la voix. Epoustouflante, suave, énorme, un organe capable sur scène, de grimper en un petit temps du très grave au très aigu. Puis sa présence : grande fille à la beauté singulière. (Le Parisien)
Une voix de rêveuse suprême, lovée dans des chansons vaporeuses et délicatement arrangées, faites pour voler. (Telerama)
Alejandra Ribera, bioluminescente? - Artiste trentenaire, planétaire, voyageuse, elle envisage la chanson comme un remède à la mélancolie, le reflet de son expressivité, comme d'autres choisissent la peinture ou la poésie. (La Croix)