Jeudi 29/11/2018
Lucibela
Lucibela, c'est un sourire. Un vent de fraîcheur qui fait frémir les fleurs de bougainvilliers et la crête des vagues.
La jeune Capverdienne est née en 1986 à São Nicolau, l'une des îles du Barlavento, les îles « aux vents » du nord de l'archipel sahélien. Elle publie son premier album, « Laço Umbilical », le lien premier qui relie la créature à sa terre.
En treize titres, Lucibela-la-voix d'or, fait le tour de la question : être une femme, être Cap-Verdienne, vivre loin, aimer charnellement et avec grâce.
Le miracle Lucibela tient dans sa capacité à explorer les graves à la façon des grandes sambistas brésiliennes et à y ajouter un vibrato en forme de frisson.
Production : New Morning
Lucibela, c'est un sourire. Un vent de fraîcheur qui fait frémir les fleurs de bougainvilliers et la crête des vagues.
La jeune Capverdienne est née en 1986 à São Nicolau, l'une des îles du Barlavento, les îles « aux vents » du nord de l'archipel sahélien. Elle publie son premier album, « Laço Umbilical », le lien premier qui relie la créature à sa terre.
En treize titres, Lucibela-la-voix d'or, fait le tour de la question : être une femme, être Cap-Verdienne, vivre loin, aimer charnellement et avec grâce.
Le miracle Lucibela tient dans sa capacité à explorer les graves à la façon des grandes sambistas brésiliennes et à y ajouter un vibrato en forme de frisson.
Première partie
Samaïa
Elles vous emportent dans un tourbillon d'harmonie, aux accents de langues éclectiques, en chantant a capella les joies et les tristesses du monde.
Samaïa, ce sont trois voix qui se mêlent sans jamais se toucher. Leur nom vient de cette danse traditionnelle géorgienne dansé par trois femmes représentant la première reine géorgienne Tamar.
Solidement ancrées dans la terre, leurs voix chaudes et nébuleuses tissent, célèbrent, pleurent et réinventent des histoires traditionnelles venant du monde entier.
Production : New Morning
Elles vous emportent dans un tourbillon d'harmonie, aux accents de langues éclectiques, en chantant a capella les joies et les tristesses du monde.
Samaïa, ce sont trois voix qui se mêlent sans jamais se toucher. Leur nom vient de cette danse traditionnelle géorgienne dansé par trois femmes représentant la première reine géorgienne Tamar.
Solidement ancrées dans la terre, leurs voix chaudes et nébuleuses tissent, célèbrent, pleurent et réinventent des histoires traditionnelles venant du monde entier.