Jeudi 13/04/2017
Voix
D.J.
D.J.
Daymé Arocena
La jeune protégée de Gilles Peterson, Daymé Arocena est de retour avec un nouvel album « Cubafonia ».
Ancrant ses compositions dans les rythmes cubains classiques, Daymé Arocena nous livre un opus coloré où se mêlent rumba traditionnelle, soul, jazz, pop et culture yoruba.
= Ils en parlent =
"une puissante voix de soul, une exubérance formidable" TÉLÉRAMA
"une chanteuse éclatante" LES INROCKUPTIBLES
"une claque!" LE MONDE
Entre exubérance et générosité, la jeune protégée de Gilles Peterson est « une artiste complète qui fait la connexion entre la rumba traditionnelle, le jazz, la pop et la culture yoruba ». Une bouille ronde et juvénile qui met en joie, une puissante voix de soul, une exubérance formidable : Daymé Arocena, 23 ans, est la nouvelle protégée de Gilles Peterson, le promoteur passionné de la nouvelle scène cubaine qui l'a rencontrée lors de ses Havana Cultura Sessions. « C'est une artiste complète, s'enthousiasme-t-il, une chanteuse qui fait la connexion entre la rumba traditionnelle, le jazz, la pop et la culture yoruba, mais aussi une excellente compositrice et arrangeuse. »
Chef de choeur au lycée, prix de composition classique à 16 ans, cet enfant de La Havane a grandi avec la rumba de la rue, le jazz paternel et les cérémonies yorubas de sa grand-mère, qui l'a également initiée aux vieux boléros. Sans oublier « Whitney Houston, que je chantais à plein tube », lâche la jeune femme entre deux rires. Toute pimpante dans son habit blanc des jeunes initiées de la santeria afro-cubaine, Daymé Arocena est d'une rare pétulance. Sur scène, entre une invocation habitée de la déesse Yemaya et une berceuse entêtante, elle bavarde sans fin, étrillant avec humour les vilains ex qui lui ont inspiré ses chansons. Dans la vie, elle avoue en pouffant : « Les pauvres ! En vrai, c'est moi, la crazy lover ! » Daymé en fait des tonnes, en somme, mais on lui pardonne ce défaut de jeunesse : sa force est aussi là, dans sa fraîcheur, son excès désarmant et son immense générosité. (Anne Berthod, TÉLÉRAMA)
De la santería au jazz, une chanteuse éclatante.
Nouvelle égérie de Gilles Peterson, cette Cubaine de 23 ans s'est signalée il y a quelques mois à l'attention de la planète par une visite tellurique et percussive du standard de jazz « Cry Me a River » (mais elle s'est après tout produite en compagnie de Wynton Marsalis). Brouillant délibérément les pistes en appariant salsa, reggaeton et electro rumba, ce premier album d'une artiste expressive et organique bouscule les fondamentaux de la scène cubaine. Daymé Arocena revendique les racines de la santería, religion polythéiste initiée par les esclaves de l'île, et du vaudou, et en s'ouvrant à une écriture exigeante distille quelques mignardises de production. On adjoint au menu des pistes de chant multipliées pour en magnifier l'ampleur, des pyrotechnies vocales à répétition, et quelques invités de choix issus d'une scène jazz curieuse de tout (dont le contrebassiste Neil Charles et le pianiste Rob Mitchell).
L'immédiateté de son art, la virtuosité de son chant et quelques audaces (« El Ruso », en hommage à sa mère contrainte d'apprendre le russe en plein embargo américain) positionnent cette nouvelle diva des Caraïbes en première ligne de la musique de son île. (Christian Larrède, LES INROCKUPTIBLES)
Production : New Morning
La jeune protégée de Gilles Peterson, Daymé Arocena est de retour avec un nouvel album « Cubafonia ».
Ancrant ses compositions dans les rythmes cubains classiques, Daymé Arocena nous livre un opus coloré où se mêlent rumba traditionnelle, soul, jazz, pop et culture yoruba.
= Ils en parlent =
"une puissante voix de soul, une exubérance formidable" TÉLÉRAMA
"une chanteuse éclatante" LES INROCKUPTIBLES
"une claque!" LE MONDE
Entre exubérance et générosité, la jeune protégée de Gilles Peterson est « une artiste complète qui fait la connexion entre la rumba traditionnelle, le jazz, la pop et la culture yoruba ». Une bouille ronde et juvénile qui met en joie, une puissante voix de soul, une exubérance formidable : Daymé Arocena, 23 ans, est la nouvelle protégée de Gilles Peterson, le promoteur passionné de la nouvelle scène cubaine qui l'a rencontrée lors de ses Havana Cultura Sessions. « C'est une artiste complète, s'enthousiasme-t-il, une chanteuse qui fait la connexion entre la rumba traditionnelle, le jazz, la pop et la culture yoruba, mais aussi une excellente compositrice et arrangeuse. »
Chef de choeur au lycée, prix de composition classique à 16 ans, cet enfant de La Havane a grandi avec la rumba de la rue, le jazz paternel et les cérémonies yorubas de sa grand-mère, qui l'a également initiée aux vieux boléros. Sans oublier « Whitney Houston, que je chantais à plein tube », lâche la jeune femme entre deux rires. Toute pimpante dans son habit blanc des jeunes initiées de la santeria afro-cubaine, Daymé Arocena est d'une rare pétulance. Sur scène, entre une invocation habitée de la déesse Yemaya et une berceuse entêtante, elle bavarde sans fin, étrillant avec humour les vilains ex qui lui ont inspiré ses chansons. Dans la vie, elle avoue en pouffant : « Les pauvres ! En vrai, c'est moi, la crazy lover ! » Daymé en fait des tonnes, en somme, mais on lui pardonne ce défaut de jeunesse : sa force est aussi là, dans sa fraîcheur, son excès désarmant et son immense générosité. (Anne Berthod, TÉLÉRAMA)
De la santería au jazz, une chanteuse éclatante.
Nouvelle égérie de Gilles Peterson, cette Cubaine de 23 ans s'est signalée il y a quelques mois à l'attention de la planète par une visite tellurique et percussive du standard de jazz « Cry Me a River » (mais elle s'est après tout produite en compagnie de Wynton Marsalis). Brouillant délibérément les pistes en appariant salsa, reggaeton et electro rumba, ce premier album d'une artiste expressive et organique bouscule les fondamentaux de la scène cubaine. Daymé Arocena revendique les racines de la santería, religion polythéiste initiée par les esclaves de l'île, et du vaudou, et en s'ouvrant à une écriture exigeante distille quelques mignardises de production. On adjoint au menu des pistes de chant multipliées pour en magnifier l'ampleur, des pyrotechnies vocales à répétition, et quelques invités de choix issus d'une scène jazz curieuse de tout (dont le contrebassiste Neil Charles et le pianiste Rob Mitchell).
L'immédiateté de son art, la virtuosité de son chant et quelques audaces (« El Ruso », en hommage à sa mère contrainte d'apprendre le russe en plein embargo américain) positionnent cette nouvelle diva des Caraïbes en première ligne de la musique de son île. (Christian Larrède, LES INROCKUPTIBLES)
Voix
D.J.
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