Mercredi 04/02/2015
Voix
Voix
Guitare
Claviers
Batterie
Basse
The Afrorockerz
THE AFROROCKERZ propulse l'Afrobeat dans le 21ème siècle : pulsations nerveuses, sons psychédéliques, énergie rock'n roll et ouvertures électro. La formule Afrorockerz tire dans le mille, bousculant la musique de Fela Kuti avec une énergie débraillée, taillée pour la scène !
The Afrorockerz, c'est d'abord un clash musical et la naissance d'un duo singulier ; c'est la rencontre intime entre l'afrobeat pur et entêtant de Julien Raulet (co-fondateur de Fanga), et le rock planant mâtiné de jazz et d'électro de Sylvain Daniel (Bot'ox, Yom and The Wonder Rabbis, L'ONJ).
Julien avait déjà exploré de nouveaux sentiers avec la chanteuse Ruth Tafébé sur l'album « Holy Warriors » où Tony Allen tenait la batterie. Dans les sous-sols des studios parisiens, tous deux mêlent leurs univers, mixent leur culture contemporaine et traditionnelle, avec une mission claire : insuffler une énergie nouvelle dans l'Afrobeat et en réinventer les codes. Ils puisent leur inspiration dans le rock psychédélique, chez les pionniers de l'électro, et empruntent à la soul son intensité. L'union des voix des deux chanteurs viennent féconder le vaste horizon musical déjà dessiné.
Emma Lamadji (« Defunkt, Gospelize It », partenaire de Julien Raulet au sein de Fanga) possède la rigueur du jazz, l'intensité lyrique du negro spiritual. Splendide et généreuse, elle irradie de soul. Qu'elle chante en songo, sa langue maternelle de République Centrafricaine, ou en anglais, elle est capable d'embraser un continent d'amour.
Poète équilibriste au flow hanté de beat generation et de black poetry, Allonymous (Jimi Ténor, Push Up, Saul Williams), épouse la liberté d'un électro psychédélique. Il s'est nourri de la substance du blues à Chicago, sa ville natale, mais quand le groove magnétique s'empare de son corps, il chevauche la féérie de Paisley Park. Leurs voix unies réduisent à la fraction de seconde l'espace entre Lagos et Broadway. Ensemble, alors que la transe libère les corps et ouvre les esprits, ils chantent l'engagement au Monde, l'absurdité de la guerre et des enjeux du pouvoir, la mobilisation, l'amour et l'éveil de la conscience.
Le groupe prend forme avec à la batterie, Maxime Zampieri (Julien Lourau, Magic Malik, Yodelice...), complice de longue date de Sylvain Daniel (notamment au sein du Gambit de Julien Lourau) qui possède la précision métronomique de John Blackwell et la souplesse de l'after-beat de Fela. Aux claviers, David Monnet (Chlorine Free, The Name...), apporte son savoir-faire de la scène électro et graffe, à la place de la traditionnelle et « folklorique » section de cuivres, des motifs telluriques aux envolées hypnotiques. Fous de Fela Kuti et de son héritage, mais également de Prince, The Cure ou encore Frank Zappa, le sextet explore alors les pistes de leur suprême fusion. Sur les traces des Talking Heads de « Remain in Light », traquant la transe jazz du Miles Davis de « Get Up with it », toutes les pistes sont alors ouvertes à l'alchimie des sons. Ce sont les fruits de ces recherches et de ces rencontres qui composent le premier album de The Afrorockerz : contretemps subtil induisant le mouvement perpétuel du corps; écho des avenues de l'âpre jungle urbaine; extase et dépression; nuit qui remue en illuminations...
Maturé en studio, le son puissant de The Afrorockerz révèle ses arômes rock au firmament du groove.
THE AFROROCKERZ propulse l'Afrobeat dans le 21ème siècle : pulsations nerveuses, sons psychédéliques, énergie rock'n roll et ouvertures électro. La formule Afrorockerz tire dans le mille, bousculant la musique de Fela Kuti avec une énergie débraillée, taillée pour la scène !
The Afrorockerz, c'est d'abord un clash musical et la naissance d'un duo singulier ; c'est la rencontre intime entre l'afrobeat pur et entêtant de Julien Raulet (co-fondateur de Fanga), et le rock planant mâtiné de jazz et d'électro de Sylvain Daniel (Bot'ox, Yom and The Wonder Rabbis, L'ONJ).
Julien avait déjà exploré de nouveaux sentiers avec la chanteuse Ruth Tafébé sur l'album « Holy Warriors » où Tony Allen tenait la batterie. Dans les sous-sols des studios parisiens, tous deux mêlent leurs univers, mixent leur culture contemporaine et traditionnelle, avec une mission claire : insuffler une énergie nouvelle dans l'Afrobeat et en réinventer les codes. Ils puisent leur inspiration dans le rock psychédélique, chez les pionniers de l'électro, et empruntent à la soul son intensité. L'union des voix des deux chanteurs viennent féconder le vaste horizon musical déjà dessiné.
Emma Lamadji (« Defunkt, Gospelize It », partenaire de Julien Raulet au sein de Fanga) possède la rigueur du jazz, l'intensité lyrique du negro spiritual. Splendide et généreuse, elle irradie de soul. Qu'elle chante en songo, sa langue maternelle de République Centrafricaine, ou en anglais, elle est capable d'embraser un continent d'amour.
Poète équilibriste au flow hanté de beat generation et de black poetry, Allonymous (Jimi Ténor, Push Up, Saul Williams), épouse la liberté d'un électro psychédélique. Il s'est nourri de la substance du blues à Chicago, sa ville natale, mais quand le groove magnétique s'empare de son corps, il chevauche la féérie de Paisley Park. Leurs voix unies réduisent à la fraction de seconde l'espace entre Lagos et Broadway. Ensemble, alors que la transe libère les corps et ouvre les esprits, ils chantent l'engagement au Monde, l'absurdité de la guerre et des enjeux du pouvoir, la mobilisation, l'amour et l'éveil de la conscience.
Le groupe prend forme avec à la batterie, Maxime Zampieri (Julien Lourau, Magic Malik, Yodelice...), complice de longue date de Sylvain Daniel (notamment au sein du Gambit de Julien Lourau) qui possède la précision métronomique de John Blackwell et la souplesse de l'after-beat de Fela. Aux claviers, David Monnet (Chlorine Free, The Name...), apporte son savoir-faire de la scène électro et graffe, à la place de la traditionnelle et « folklorique » section de cuivres, des motifs telluriques aux envolées hypnotiques. Fous de Fela Kuti et de son héritage, mais également de Prince, The Cure ou encore Frank Zappa, le sextet explore alors les pistes de leur suprême fusion. Sur les traces des Talking Heads de « Remain in Light », traquant la transe jazz du Miles Davis de « Get Up with it », toutes les pistes sont alors ouvertes à l'alchimie des sons. Ce sont les fruits de ces recherches et de ces rencontres qui composent le premier album de The Afrorockerz : contretemps subtil induisant le mouvement perpétuel du corps; écho des avenues de l'âpre jungle urbaine; extase et dépression; nuit qui remue en illuminations...
Maturé en studio, le son puissant de The Afrorockerz révèle ses arômes rock au firmament du groove.
Voix
Voix
Guitare
Claviers
Batterie
Basse
Première partie
Guitare, Percussions, Voix
Kuku
Descendant d’une dynastie militaire nigériane et ancien soldat de l’armée américaine, KUKU construit des ponts entre les cultures yoruba et américaines à l’aide d’un mix passionnant de musiques soul et traditionnelle.
Récemment, KUKU a posé sa voix rauque sur 2 titres du dernier album de Tony Allen et Télérama déclare « Avec une mention spéciale au chant chamanique de Kuku, le featuring le plus excitant du disque ».
Son nouvel album, « Ballads & Blasphemy » sortira en France le 1er juin.
Descendant d’une dynastie militaire nigériane et ancien soldat de l’armée américaine, KUKU construit des ponts entre les cultures yoruba et américaines à l’aide d’un mix passionnant de musiques soul et traditionnelle.
Récemment, KUKU a posé sa voix rauque sur 2 titres du dernier album de Tony Allen et Télérama déclare « Avec une mention spéciale au chant chamanique de Kuku, le featuring le plus excitant du disque ».
Son nouvel album, « Ballads & Blasphemy » sortira en France le 1er juin.
Guitare, Percussions, Voix
VOUS DEVRIEZ AIMER
Sam 23 Novembre
Jacques Daoud Revue
Concert & DJ's
Mer 27 Novembre
Young Gun Silver Fox
Concert & DJ's
Sam 07 Décembre
Akata Kolo Orchestra + OGA
Concert & DJ's
Mar 31 Décembre
Le Grand Réveillon du Nouvel An
Concert & DJ's