Samedi 14/09/2013
Voix
Voix
Piano
Voix
Batterie
Basse
Percussions
Guitare
Violon
Chebli
Chébli, figure emblématique des Comores, est un artiste atypique. Chanteur de taarab, il nous livre son cinquième album : « Heza », un hommage à son père, un des chanteurs les populaires du pays.
La musique comorienne s'entremêle aux rythmes latinos et africains, aux airs orientales. Sa musique est à l'image de l'archipel : colorée et variée. Un véritable voyage.
« Heza », c'est un travail de deux ans, pour lequel il s'est entouré de ses acolytes. On y retrouve Theo Blaise Kounkou aux choeurs; Patrick Bebey, le fils prodige de Francis Bebey ; Charlotte Dipanda, la célèbre choriste de Papa Wemba, Manu Dibango ou bien encore Rokia Traoré. Mais aussi un invité de marque, Sergent Garcia : il a réarrangé le titre « Ulaya » avec la voix de l'artiste colombien Luis Towers qui a eu un véritable coup de coeur pour ce morceau.
« Heza », c'est aussi l'album du spectacle musical « Heza, le chemin du Taarab » commandé par la ville de Marseille dans le cadre du label « capitale européenne 2013 ». Ce spectacle nous fait partir d'Egypte, traverse l'Afrique Centrale et Orientale avant de nous mener aux Comores et de se terminer à Marseille. Il a remporté un grand succès. Chebli y a convié le rappeur Youssoupha, ses camarades Vlad et Soro Solo de l'Afrique Enchantée, le grand Sam Mangwana qui fête cette année ses 50 ans de carrière mais aussi Sergent Garcia. Une tournée de ce spectacle est prévue en 2014.
« Heza », c'est un album de ballades traditionnelles qui vous fera voyager des Comores à l'Amérique latine, sur des rythmes festifs. Un délice.
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« Un griot comorien amoureux de musique congolaise, qui s'invite dans la rumba avec ses histoires roulées par les vagues de l'océan Indien et chante le taarab, venu de Zanzibar, comme le faisait son père dans les seventies, avec des percussions. » (Anne Berthod / Télérama)
« L'un des mélodistes le plus talentueux de la planète Afro. » (Claudy Siar / RFI)
« Heza est un album d'une grande ouverture sur le monde. Un hommage sensible et fort que Chébli Msaïdie fait à son pays, les Comores. » (Françoise Degeorges / France Musique)
Le chemin commence à Ouellah, à 30 km de la capitale des Comores, Moroni, sur l'île de la Grande Comores. La ville a de très longue date une réputation de haut lieu de l'ambiance, du divertissement et des plaisirs. Aujourd'hui encore, Ouellah compte trois boîtes de nuit, qui attirent les amateurs de musique de la capitale. Quand Chebli était enfant, il y avait quatre orchestres de taarab, un par quartier, avec chacun une trentaine de musiciens, qui se livraient à une concurrence féroce. Celui de son père est l'ACM : Association comorienne de musique. À la maison, on écoute les chants majestueux du Caire, mais aussi la rumba dansante de Kinshasa. Le petit Chebli fréquente l'école coranique le jeudi et, un jour où les enfants répètent un choeur, il fait des variations qu'il a entendues à la maison, dans la voix d'Oum Koulthoum. L'imam le repère et lui dit « Heza » : « chante »... (François-Xavier Gomez / Libération)
Heza, « chante ! » disait le maître coranique au tout jeune Chebli.
Un ordre d'autant plus facile à suivre que le père de l'enfant animait les bals populaires de son île, reprenant sur scène les ténors de la musique arabe, tanzanienne, les rois de la rumba cubaine et congolaise. Ce disque est un hommage à ce père qui le fit voyager en musique sans bouger de la place du village, au son des multiples influences qui façonnèrent l'âme des Comores, archipel métisse. De l'Afrique à l'Asie, on retrouve cette immense palette de couleurs dans les chansons de Chebli. Heza ! (Vladimir Cagnolari / France Inter)
Chébli, figure emblématique des Comores, est un artiste atypique. Chanteur de taarab, il nous livre son cinquième album : « Heza », un hommage à son père, un des chanteurs les populaires du pays.
La musique comorienne s'entremêle aux rythmes latinos et africains, aux airs orientales. Sa musique est à l'image de l'archipel : colorée et variée. Un véritable voyage.
« Heza », c'est un travail de deux ans, pour lequel il s'est entouré de ses acolytes. On y retrouve Theo Blaise Kounkou aux choeurs; Patrick Bebey, le fils prodige de Francis Bebey ; Charlotte Dipanda, la célèbre choriste de Papa Wemba, Manu Dibango ou bien encore Rokia Traoré. Mais aussi un invité de marque, Sergent Garcia : il a réarrangé le titre « Ulaya » avec la voix de l'artiste colombien Luis Towers qui a eu un véritable coup de coeur pour ce morceau.
« Heza », c'est aussi l'album du spectacle musical « Heza, le chemin du Taarab » commandé par la ville de Marseille dans le cadre du label « capitale européenne 2013 ». Ce spectacle nous fait partir d'Egypte, traverse l'Afrique Centrale et Orientale avant de nous mener aux Comores et de se terminer à Marseille. Il a remporté un grand succès. Chebli y a convié le rappeur Youssoupha, ses camarades Vlad et Soro Solo de l'Afrique Enchantée, le grand Sam Mangwana qui fête cette année ses 50 ans de carrière mais aussi Sergent Garcia. Une tournée de ce spectacle est prévue en 2014.
« Heza », c'est un album de ballades traditionnelles qui vous fera voyager des Comores à l'Amérique latine, sur des rythmes festifs. Un délice.
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« Un griot comorien amoureux de musique congolaise, qui s'invite dans la rumba avec ses histoires roulées par les vagues de l'océan Indien et chante le taarab, venu de Zanzibar, comme le faisait son père dans les seventies, avec des percussions. » (Anne Berthod / Télérama)
« L'un des mélodistes le plus talentueux de la planète Afro. » (Claudy Siar / RFI)
« Heza est un album d'une grande ouverture sur le monde. Un hommage sensible et fort que Chébli Msaïdie fait à son pays, les Comores. » (Françoise Degeorges / France Musique)
Le chemin commence à Ouellah, à 30 km de la capitale des Comores, Moroni, sur l'île de la Grande Comores. La ville a de très longue date une réputation de haut lieu de l'ambiance, du divertissement et des plaisirs. Aujourd'hui encore, Ouellah compte trois boîtes de nuit, qui attirent les amateurs de musique de la capitale. Quand Chebli était enfant, il y avait quatre orchestres de taarab, un par quartier, avec chacun une trentaine de musiciens, qui se livraient à une concurrence féroce. Celui de son père est l'ACM : Association comorienne de musique. À la maison, on écoute les chants majestueux du Caire, mais aussi la rumba dansante de Kinshasa. Le petit Chebli fréquente l'école coranique le jeudi et, un jour où les enfants répètent un choeur, il fait des variations qu'il a entendues à la maison, dans la voix d'Oum Koulthoum. L'imam le repère et lui dit « Heza » : « chante »... (François-Xavier Gomez / Libération)
Heza, « chante ! » disait le maître coranique au tout jeune Chebli.
Un ordre d'autant plus facile à suivre que le père de l'enfant animait les bals populaires de son île, reprenant sur scène les ténors de la musique arabe, tanzanienne, les rois de la rumba cubaine et congolaise. Ce disque est un hommage à ce père qui le fit voyager en musique sans bouger de la place du village, au son des multiples influences qui façonnèrent l'âme des Comores, archipel métisse. De l'Afrique à l'Asie, on retrouve cette immense palette de couleurs dans les chansons de Chebli. Heza ! (Vladimir Cagnolari / France Inter)
Voix
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Batterie
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