« Le Pianiste globe-trotter » est allé enregistrer son nouvel album à Tel Aviv avec un ami de longue date, le contrebassiste AVISHAI COHEN et trois musiciens israéliens : NOAM DAVID (batterie), GILAD ABRO (contrebasse) et ILAN KATCHKA (percussions).

C'est en Israël que JO KAIAT « Le Pianiste globe-trotter » est allé enregistrer son nouvel album. Ce projet est réalisé avec un invité de choix et ami de longue date, le contrebassiste AVISHAI COHEN et trois musiciens israéliens de haut niveau : NOAM DAVID à la batterie, habituel compagnon de route d'AVISHAI COHEN, GILAD ABRO nouvelle étoile montante du jazz israélien à la contrebasse et ILAN KATCHKA le spécialiste des musiques ethniques aux percussions.

Pour cet album, JO KAIAT intègre à sa musique les influences venues du Moyen-Orient ou d'Afrique de l'Ouest. Il nous plonge dans les richesses des musiques hébraïques, méditerranéennes et latino. On peut également déceler les influences arabo-andalouses, et bien sur le jazz en fil conducteur.

Ce jazz hybride aux influences multiples, en fait un album métissé qui reflète avec sensibilité la somme des expériences du pianiste à travers le monde.

Somme des expériences vécues par JO KAIAT, cet album marque non pas un aboutissement mais bien au contraire un nouveau départ.

La personnalité de Syna Awel est portée par une voix douce et chaude. Sa musique est un brassage de genre entre jazz, soul, blues, vibrations et rythmes orientaux...

Pour ce nouveau projet, Syna Awel s'entoure de Béatrice Alunni au piano, Sofian El Mabrouk à la contrebasse et du batteur-percussionniste Jean Luc Danna.

Sofian frappe les cordes de sa contrebasse avec l'archet qui sonne comme un oud ou un huembri. Jean Luc Danna, magicien du son "d'aqui e d'aia" qui incarne la pulsation du Jazz, les accompagnements au son du calbas et de percussions mineurs avec finesse. Les notes de la pianiste Béatrice Alunni s'emboîtent quant à elles avec un naturel parfait et tend des ponts entre les différentes cultures que propose ce projet.

Cette diversité sonore offre à Syna Awel un bel écrin pour des mélodies envoûtantes en berbère et en arabe qui nous emportent dès les premières vocalises.