Samedi 06/04/2013
Guitare, Kora, Voix
Basse, Voix
Percussions, Sampler, Voix
Flute, Flûte traversière, Sampler
Voix
Djeli Moussa Condé
Après avoir collaboré notamment avec Manu Dibango, Salif Keïta, Mory Kante, Alpha Blondy, Cesaria Evora, Cheick Tidiane Seck, Djeli sortait son premier album solo en mars 2012. Un an et 50 concerts plus tard, retrouvez-le sur scène et découvrez un univers aux textes poétiques et engagés, dans un esprit tribal et moderne à la fois, effleurant pop, électro, sonorités arabo-andalouses...Une voix profonde, puissante et sincère, un jeu de kora acéré, Djeli enivre son public dès les premières notes. Un spectacle en harmonie avec son temps, entre musiques actuelles et musiques du monde. Énergie et sensibilité sont au rendez-vous !
Griot urbain aux allures de rocker, Djeli Moussa Condé chante, au travers de textes engagés, la paix et l'espoir qu'il a en l'humanité...
Né en Guinée-Conakry, issu d'une famille de griots, Djeli Moussa Conde apprend très jeune l'art du chant et de la kora. Pendant quatre ans le Maître Lamine Sissoko lui enseigne la Kora et la culture musicale de son pays. Très doué, Djeli se voit décerner par l'Unesco le diplôme de participation au premier Festival de Kora d'Afrique de l'Ouest à Conakry. Déjà, il commence à exprimer ses talents de compositeur. Il part ensuite à l'aventure, durant plusieurs année, à travers l'Afrique de l'ouest.
De séjour à Abidjan, il est repéré par Souleyman Koly, et devient de 1989 à 1993, auteur-compositeur de l'ensemble Kotéba d'Abidjan (Souleyman Koly) avec lequel il participe à de prestigieuses tournées internationales. Dans le même temps, il compose quatre morceaux pour « Waramba », premier Opéra mandingue primé au Festival d'Avignon en 1993. Djeli Moussa s'installe en suite à Paris en 1993.
Sans papiers, il est parrainé par Bernadette Lafont et «Musiciens sans frontières» et finit par obtenir son titre de séjour.
"Djeli" va alors collaborer avec des artistes tels que Manu Dibango (wakafrica), Salif Keïta, Richard Bona (Kalaban koro), Mory Kante, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tydiane seck (Sarala), Sekouba Bambino (Le destin, Sinikan...), Mangala(réexpédition), Amy Koïta ... Il contribue avec sa kora et sa voix puissante aux albums de chacun et les suivra sur leurs tournées françaises et internationales. Engagé, Il participe à de nombreux concerts de soutien aux grandes causes humanitaires (Secours Populaire français, Unesco, Musiciens sans frontières...). En 1998, il est sollicité pour le Festival « Voix du Monde » à Rio. En Juillet 2002, Djeli fait la connaissance de Janice DeRosa, diva du blues. Ils enregistrent ensemble l'album « ADUNA », qui sortira en juin 2003.
Il enregistre également sur « comptines et berceuses du baobab » avec Paul Mindy.
« Djeli » se consacre alors à la composition d'un répertoire très vite apprécié par le public des scènes parisiennes.
En 2010, il fait la rencontre de Vincent Lassalle, qui lui propose de réaliser son prochain album. S'en suivra une longue période de composition et de travail qui verra naitre l'album éponyme « Djeli », entièrement enregistré à Ménilmontant, son quartier de prédilection.
Avec un répertoire large, des textes poétiques et engagés, Djeli lance ainsi un projet hors normes, avec kora, guitare, basse, un set de percussions et machines, flûte malinké, dans un projet tribal et moderne à la fois, effleurant la pop, insérant une touche d'électro...
Energie et sensibilité sont au rendez-vous !
Album sorti le 19 mars 2012 (Polychrone/Sokadisc). Une musique africaine ouverte sur le monde...
« L'un des meilleurs joueur de kora au monde !! » Amobé RFI
« Un timbre de voix qui force l'attention, qui écorche la sensibilité. » Guy Sitruk, jazz à paris.
Après avoir collaboré notamment avec Manu Dibango, Salif Keïta, Mory Kante, Alpha Blondy, Cesaria Evora, Cheick Tidiane Seck, Djeli sortait son premier album solo en mars 2012. Un an et 50 concerts plus tard, retrouvez-le sur scène et découvrez un univers aux textes poétiques et engagés, dans un esprit tribal et moderne à la fois, effleurant pop, électro, sonorités arabo-andalouses...Une voix profonde, puissante et sincère, un jeu de kora acéré, Djeli enivre son public dès les premières notes. Un spectacle en harmonie avec son temps, entre musiques actuelles et musiques du monde. Énergie et sensibilité sont au rendez-vous !
Griot urbain aux allures de rocker, Djeli Moussa Condé chante, au travers de textes engagés, la paix et l'espoir qu'il a en l'humanité...
Né en Guinée-Conakry, issu d'une famille de griots, Djeli Moussa Conde apprend très jeune l'art du chant et de la kora. Pendant quatre ans le Maître Lamine Sissoko lui enseigne la Kora et la culture musicale de son pays. Très doué, Djeli se voit décerner par l'Unesco le diplôme de participation au premier Festival de Kora d'Afrique de l'Ouest à Conakry. Déjà, il commence à exprimer ses talents de compositeur. Il part ensuite à l'aventure, durant plusieurs année, à travers l'Afrique de l'ouest.
De séjour à Abidjan, il est repéré par Souleyman Koly, et devient de 1989 à 1993, auteur-compositeur de l'ensemble Kotéba d'Abidjan (Souleyman Koly) avec lequel il participe à de prestigieuses tournées internationales. Dans le même temps, il compose quatre morceaux pour « Waramba », premier Opéra mandingue primé au Festival d'Avignon en 1993. Djeli Moussa s'installe en suite à Paris en 1993.
Sans papiers, il est parrainé par Bernadette Lafont et «Musiciens sans frontières» et finit par obtenir son titre de séjour.
"Djeli" va alors collaborer avec des artistes tels que Manu Dibango (wakafrica), Salif Keïta, Richard Bona (Kalaban koro), Mory Kante, Alpha Blondy, Césaria Evora, Hank Jones, Cheick Tydiane seck (Sarala), Sekouba Bambino (Le destin, Sinikan...), Mangala(réexpédition), Amy Koïta ... Il contribue avec sa kora et sa voix puissante aux albums de chacun et les suivra sur leurs tournées françaises et internationales. Engagé, Il participe à de nombreux concerts de soutien aux grandes causes humanitaires (Secours Populaire français, Unesco, Musiciens sans frontières...). En 1998, il est sollicité pour le Festival « Voix du Monde » à Rio. En Juillet 2002, Djeli fait la connaissance de Janice DeRosa, diva du blues. Ils enregistrent ensemble l'album « ADUNA », qui sortira en juin 2003.
Il enregistre également sur « comptines et berceuses du baobab » avec Paul Mindy.
« Djeli » se consacre alors à la composition d'un répertoire très vite apprécié par le public des scènes parisiennes.
En 2010, il fait la rencontre de Vincent Lassalle, qui lui propose de réaliser son prochain album. S'en suivra une longue période de composition et de travail qui verra naitre l'album éponyme « Djeli », entièrement enregistré à Ménilmontant, son quartier de prédilection.
Avec un répertoire large, des textes poétiques et engagés, Djeli lance ainsi un projet hors normes, avec kora, guitare, basse, un set de percussions et machines, flûte malinké, dans un projet tribal et moderne à la fois, effleurant la pop, insérant une touche d'électro...
Energie et sensibilité sont au rendez-vous !
Album sorti le 19 mars 2012 (Polychrone/Sokadisc). Une musique africaine ouverte sur le monde...
« L'un des meilleurs joueur de kora au monde !! » Amobé RFI
« Un timbre de voix qui force l'attention, qui écorche la sensibilité. » Guy Sitruk, jazz à paris.
Guitare, Kora, Voix
Basse, Voix
Percussions, Sampler, Voix
Flute, Flûte traversière, Sampler
Voix