Jeudi 12/07/2018

Festival « All Stars »
Jeu 12 Juil 2018 : Roy Ayers
Roy Ayers
Vibraphone, Voix

Roy Ayers

Une légende vivante !
FunkJazzSoul

Vibraphoniste mondialement reconnu, il est le Maître incontesté en la matière. Une philosophie hédoniste résumée dans son tubesque « Everybody Loves The Sunshine » de 1976.

Avec près de 65 albums produits en un demi-siècle (et mille fois samplés), le célèbre vibraphoniste est un véritable trait d'union entre soul, jazz, et hip-hop et a inspiré plusieurs courants musicaux, lorsqu'il n'a pas directement initié certains d'entre eux. C'est lui qui a incarné après plusieurs détours la mixture jazz-funk qu'était l'acid-jazz naissant, alors que lui-même s'est fait connaitre au tournant des années 90 en popularisant cette scène musicale et en fondant le label du même nom.

Peu d'artistes ont eu l'impact de Roy Ayers. Il a écrit les plus grandes pages de la soul, du jazz et du funk et continue une influence majeure auprès de tous les musiciens dans le plus large spectre musicale. L'univers du Hip Hop, tout particulièrement, lui doit beaucoup. Les célèbres B.I.G., Dr. Dre, A Tribe Called Quest, Mary J Blige and 2Pac ne sont qu'une partie minime de tous ceux qui ont utilisés un break de Roy Ayers.

= Ils en parlent =
Les amateurs de jazz l'estiment pour avoir participé à l'enregistrement de Memphis Underground, au côté du flûtiste Herbie Mann, en 1969. Les fans de funk le vénèrent pour avoir signé en 1976 « Everybody Loves The Sunshine », considéré comme un classique de la black music, et au-delà. Nous, on a un faible pour son morceau « Tarzan », longtemps resté dans un tiroir, et exhumé sur l'épatante compilation « Virgin Ubiquity II, Unreleased Recordings 1976-1981 ». Largement samplé par les producteurs hip-hop et house, le chanteur et vibraphoniste Roy Ayers, 75 ans, fait escale à Paris. Sa voix n'est plus aussi assurée... mais sa musique est toujours solaire. (E.Perron, Télérama)

Production : New Morning

Vibraphoniste mondialement reconnu, il est le Maître incontesté en la matière. Une philosophie hédoniste résumée dans son tubesque « Everybody Loves The Sunshine » de 1976.

Avec près de 65 albums produits en un demi-siècle (et mille fois samplés), le célèbre vibraphoniste est un véritable trait d'union entre soul, jazz, et hip-hop et a inspiré plusieurs courants musicaux, lorsqu'il n'a pas directement initié certains d'entre eux. C'est lui qui a incarné après plusieurs détours la mixture jazz-funk qu'était l'acid-jazz naissant, alors que lui-même s'est fait connaitre au tournant des années 90 en popularisant cette scène musicale et en fondant le label du même nom.

Peu d'artistes ont eu l'impact de Roy Ayers. Il a écrit les plus grandes pages de la soul, du jazz et du funk et continue une influence majeure auprès de tous les musiciens dans le plus large spectre musicale. L'univers du Hip Hop, tout particulièrement, lui doit beaucoup. Les célèbres B.I.G., Dr. Dre, A Tribe Called Quest, Mary J Blige and 2Pac ne sont qu'une partie minime de tous ceux qui ont utilisés un break de Roy Ayers.

= Ils en parlent =
Les amateurs de jazz l'estiment pour avoir participé à l'enregistrement de Memphis Underground, au côté du flûtiste Herbie Mann, en 1969. Les fans de funk le vénèrent pour avoir signé en 1976 « Everybody Loves The Sunshine », considéré comme un classique de la black music, et au-delà. Nous, on a un faible pour son morceau « Tarzan », longtemps resté dans un tiroir, et exhumé sur l'épatante compilation « Virgin Ubiquity II, Unreleased Recordings 1976-1981 ». Largement samplé par les producteurs hip-hop et house, le chanteur et vibraphoniste Roy Ayers, 75 ans, fait escale à Paris. Sa voix n'est plus aussi assurée... mais sa musique est toujours solaire. (E.Perron, Télérama)


Roy Ayers
Vibraphone, Voix


Première partie


Jeu 12 Juil 2018 : Zinq
Gabe Bridgewater
Basse, Voix
Dharil Esso
Batterie
Vincent Charrue
Claviers

Zinq

Gabe Bridgewater est né dans la musique. C'est, encouragé par sa famille, qu'il commence son initiation d'abord par le piano, puis la batterie et c'est à la guitare qu'il trouve enfin sa place. A l'âge de 14 ans, il a la chance de faire ses premières expériences professionnelles en tournée avec sa mère, Dee Dee Bridgewater, lors de son projet « Red Earth: A Malian Journey ». C'est à cette époque que Gabe, alors qu'il est entouré d'un collectif de musiciens impressionnants, comprend qu'il a trouvé sa vocation.

Après plusieurs années de tournée sur divers projets, Gabe intègre Berklee College of Music, à Boston, pour élargir ses influences et approfondir son expérience de la musique. Il se retrouve en immersion dans une communauté musicale de haut talent où il aura notamment la chance de travailler en collaboration avec John Blackwell, Lenny Stallworth ou encore Theo Croker.

Riche de toutes ces rencontres, il rentre en France pour se concentrer sur son projet personnel, « Zinq ». Projet qui veut marier et transcender les influences musicales qui l'accompagne désormais. Ses inspirations vont de Jimi Hendrix, Sly Stone, Prince jusqu'à George Duke, Miles Davis, Thundercat, Anderson Paak avec des allures Hip-Hop dans la vague de J Dilla. Pour ce projet, Il se retrouve à la basse, chant et compositions, et s'est entouré à la batterie par Dharil Esso et aux claviers par Vincent Charrue. Il a terminé l'écriture de l'album et vient d'enregistré les deux premiers titres « Do Right Man » et « Ready ».

Production : New Morning

Gabe Bridgewater est né dans la musique. C'est, encouragé par sa famille, qu'il commence son initiation d'abord par le piano, puis la batterie et c'est à la guitare qu'il trouve enfin sa place. A l'âge de 14 ans, il a la chance de faire ses premières expériences professionnelles en tournée avec sa mère, Dee Dee Bridgewater, lors de son projet « Red Earth: A Malian Journey ». C'est à cette époque que Gabe, alors qu'il est entouré d'un collectif de musiciens impressionnants, comprend qu'il a trouvé sa vocation.

Après plusieurs années de tournée sur divers projets, Gabe intègre Berklee College of Music, à Boston, pour élargir ses influences et approfondir son expérience de la musique. Il se retrouve en immersion dans une communauté musicale de haut talent où il aura notamment la chance de travailler en collaboration avec John Blackwell, Lenny Stallworth ou encore Theo Croker.

Riche de toutes ces rencontres, il rentre en France pour se concentrer sur son projet personnel, « Zinq ». Projet qui veut marier et transcender les influences musicales qui l'accompagne désormais. Ses inspirations vont de Jimi Hendrix, Sly Stone, Prince jusqu'à George Duke, Miles Davis, Thundercat, Anderson Paak avec des allures Hip-Hop dans la vague de J Dilla. Pour ce projet, Il se retrouve à la basse, chant et compositions, et s'est entouré à la batterie par Dharil Esso et aux claviers par Vincent Charrue. Il a terminé l'écriture de l'album et vient d'enregistré les deux premiers titres « Do Right Man » et « Ready ».


Gabe Bridgewater
Basse, Voix
Dharil Esso
Batterie
Vincent Charrue
Claviers


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