Mardi 19/11/2019
Felipe Cabrera
Contrebassiste sollicité par les plus grands (Gonzalo Rubalcaba, Omara Portuondo...), Felipe Cabrera avait laissé entendre à trois reprises (albums « Made In Animas », « Evidence from El Cayo » et « Night Poems ») que derrière l'un des grands bassistes de la scène jazz internationale, se cachait également un compositeur intense et original.
Fin 2018, il enregistre son quatrième album « Mirror », aux côtés d'Irving Acao (saxophone ténor), Leonardo Montana (piano) et Lukmil Perez (batterie). À la tête de ce quartet, il écrit l'un des futurs de la musique cubaine.
« Cet album reflète les étapes de ma vie, depuis mon enfance à Cuba jusqu'à ma vie d'adulte entre Paris et la Havane. Il est le miroir des changements politiques et sociaux qu'ont connu mes deux Pays et des bouleversements que j'ai moi-même vécu durant ces années. Il représente ma famille, mon héritage, aussi bien caribéen que classique. Il est mon Cuba, mon Amérique et mon Europe. » (Felipe Cabrera)
Production : New Morning
Contrebassiste sollicité par les plus grands (Gonzalo Rubalcaba, Omara Portuondo...), Felipe Cabrera avait laissé entendre à trois reprises (albums « Made In Animas », « Evidence from El Cayo » et « Night Poems ») que derrière l'un des grands bassistes de la scène jazz internationale, se cachait également un compositeur intense et original.
Fin 2018, il enregistre son quatrième album « Mirror », aux côtés d'Irving Acao (saxophone ténor), Leonardo Montana (piano) et Lukmil Perez (batterie). À la tête de ce quartet, il écrit l'un des futurs de la musique cubaine.
« Cet album reflète les étapes de ma vie, depuis mon enfance à Cuba jusqu'à ma vie d'adulte entre Paris et la Havane. Il est le miroir des changements politiques et sociaux qu'ont connu mes deux Pays et des bouleversements que j'ai moi-même vécu durant ces années. Il représente ma famille, mon héritage, aussi bien caribéen que classique. Il est mon Cuba, mon Amérique et mon Europe. » (Felipe Cabrera)